Many a fine lady - Townes Van Zandt

It's many a fine lady has laid down beside me

With their flesh made of velvet and their eyes made of rain

Some tried to hold me, to hurt me, to hide me

Some turned away not to look back again





One stood among them, I remember most clearly

Her sorrows were heavy and her laughter was slow

I courted her gently, for I loved her most dearly

And I came her majestic reflections to know





Her words like the mountain, stood lonely and lofty

With her face like a daydream and her hair like the shawl

Worn by a mourner, who steals away softly

From those that would have him mourn nothing at all





Endlessly sorrow rode high on the north wind

Slashing and slicing, to take him his toll

Endlessly creatures of darkness were cutting

Their paths through the walls that shelter the soul





No longer gypsy-like sadness unending

Her eyes they lie hollow and her face petrified

Some will go laughing and others condemning

But who there among you could have told her goodbye





It's many a fine lady has laid down beside me

With their flesh made of velvet and their eyes made of rain

Some tried to hold me, to hurt me, to hide me

Some turned away not to look back again

Il y a bien une belle dame qui s'est allongée à côté de moi

Avec leur chair en velours et leurs yeux en pluie

Certains ont essayé de me retenir, de me faire mal, de me cacher

Certains se sont détournés pour ne pas regarder en arrière





L'un se tenait parmi eux, je m'en souviens le plus clairement

Ses chagrins étaient lourds et son rire était lent

Je l'ai courtisée doucement, car je l'aimais très chèrement

Et je suis venu ses réflexions majestueuses pour savoir





Ses mots comme la montagne, se tenaient seuls et élevés

Avec son visage comme une rêverie et ses cheveux comme le châle

Porté par une personne endeuillée, qui vole doucement

De ceux qui voudraient qu'il ne pleure rien du tout





Le chagrin sans fin montait haut sur le vent du nord

Couper et trancher, pour lui faire des ravages

Des créatures des ténèbres sans fin coupaient

Leurs chemins à travers les murs qui abritent l'âme





Plus de tristesse gitane sans fin

Ses yeux sont creux et son visage pétrifié \u003cbr />
Certains vont rire et d'autres condamnent

Mais qui parmi vous aurait pu lui dire au revoir





Il y a bien une belle dame qui s'est allongée à côté de moi

Avec leur chair en velours et leurs yeux en pluie

Certains ont essayé de me retenir, de me faire du mal, de me cacher

Certains se sont détournés pour ne pas regarder en arrière