For the Workforce, Drowning - Thursday

Falling from the top floor, your lungs fill like parachutes,

The windows go rushing by, the people inside,

They're dressed for the funeral in black and white,

These ties strangle our necks, hanging in the closet,

Filed in the cubicle, without a name, just numbers on a resume, stored in the mainframe, marked for delete.

Please take these hands, throw them in the river, wash away the things they never held.

please take these hands, throw me in the river, but don't let me drown before the work day ends.

'Nine to five' and we're up to our necks drowning in the seconds, ingesting the morning commute, lost in a dead subway sleep --

Now we lie wide awake in our parents' beds , tossing and turning,

Tommorow we'll get up and drive to work, in single file with everyday just like the last;

Waiting for the life to start, it's always just ahead of the curve...

Just keep making copies, of copies, of copies, when will it end...

It will never end, until it gets so bad that the ink fills in our fingerprints and the silhouette of your own face becomes the black cloud of war. even in our dreams we're so afraid the weight will ofset who we are.

All those breaths that you took have now been cancelled in your lungs.

Last night my teeth fell out like ivory typewriter keys, and all the monuments and skyscrapers burned down and filled the sea.

Save our ship, the anchor is part of the desk. We can't cut free, water is flooding the decks.

The memo's sent through the currents, computer's spark like flares--

I can see them but they don't touch me. Touch me,

Please someone teach me how to swim, please don't let me drown.

Tombant du dernier étage, vos poumons se remplissent comme des parachutes,

Les fenêtres se précipitent, les gens à l'intérieur,

Ils sont habillés pour les funérailles en noir et blanc,

Ces liens étranglent nos cous, suspendus dans le placard,

Classé dans la cabine, sans nom, juste des numéros sur un CV, stocké dans le mainframe, marqué pour suppression.

S'il vous plaît, prenez ces mains, jetez-les dans la rivière, nettoyez tout ce qu'elles n'ont jamais tenu.

veuillez prendre ces mains, jetez-moi dans la rivière, mais ne me laissez pas me noyer avant la fin de la journée de travail.

"Neuf à cinq" et nous sommes à la nuque, noyés dans les secondes, ingérant les déplacements du matin, perdus dans un sommeil de métro mort -

Maintenant, nous restons éveillés dans le lit de nos parents, nous tournons et nous retournons,

Demain, nous nous lèverons et conduirons au travail, dans un seul fichier avec tous les jours comme le dernier;

En attendant que la vie commence, c'est toujours juste devant la courbe ...

Continuez à faire des copies, des copies, des copies, quand ça se terminera ...

Cela ne finira jamais, jusqu'à ce qu'il devienne si mauvais que l'encre remplisse nos empreintes digitales et que la silhouette de votre propre visage devienne le nuage noir de la guerre. même dans nos rêves, nous avons tellement peur que le poids dérange qui nous sommes.

Toutes ces respirations que vous avez prises ont maintenant été annulées dans vos poumons.

La nuit dernière, mes dents sont tombées comme des touches de machine à écrire en ivoire, et tous les monuments et gratte-ciel ont brûlé et rempli la mer.

Sauvez notre navire, l'ancre fait partie du bureau. Nous ne pouvons pas nous libérer, l'eau inonde les ponts.

Le mémo est envoyé à travers les courants, l'étincelle de l'ordinateur comme des fusées éclairantes -

Je peux les voir mais ils ne me touchent pas. Touche moi,

S'il vous plaît, quelqu'un m'apprend à nager, s'il vous plaît, ne me laissez pas me noyer.