Queer - Thompson Twins


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Paroles de Thompson Twins - Queer

Is the story of the depravity of the beat generation true?

Daisy and Lily, lazy and silly

Walk by the shore of the warm, grassy sea

Talking once more neath a swan-bosomed tree

Rose castles fourelles, those bustles where swells

Each foam bell of ermine they roam and determine

What fashions have been and what fashions will be

What tartan leaves born what crinolines worn



(chorus)

Yeah

Queer, Queer

Queer, Queer



By green (thefis) pelisses or farlahine blue

Like the thin plaided leaves that castle crags grew

Or velours d'afrande on the water gods' land

Her hair seemed gold trees on the honey cell sand

When the thickest gold spangles on

Deep water seen were like twanging guitar

And like cold mandoline and the nymphs of great caves

With hair like gold waves of Venus wore (Farta) fine



(REPEAT CHORUS)



Wild fire passion and impossible temper

The nymph tagliongrisi the ondine wear

Plaided Victoria and thin clementine

Like the crinolined waterfalls nymphs wear beneath shawls

Elegant parasols floating are seen

The amazons wear balzarine blue

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Video de Thompson Twins - Queer

Traduction de Thompson Twins - Queer

L'histoire de la dépravation de la génération du beat est-elle vraie?

Marguerite et Lily, paresseuses et idiotes

Promenez-vous au bord de la mer chaude et herbeuse

Parler encore une fois sous un arbre à poitrine de cygne

Châteaux de roses fourelles, ces agitations où gonfle

Chaque cloche d'hermine en mousse qu'ils parcourent et déterminent

Quelles ont été les modes et quelles seront les modes

Quel tartan laisse naître quels crinolines portés



(refrain)

Ouais

Queer, Queer

Queer, Queer



Par pelisses vertes (thefis) ou bleu farlahine

Comme les fines feuilles plaquées que les rochers du château ont poussé \u003cbr />
Ou velours d'afrande sur la terre des dieux de l'eau

Ses cheveux semblaient des arbres d'or sur le sable des cellules de miel

Quand les paillettes d'or les plus épaisses sur

L'eau profonde vue était comme la guitare qui résonnait

Et comme la mandoline froide et les nymphes des grandes grottes

Avec des cheveux comme des vagues d'or de Vénus portaient (Farta) bien



(RÉPÉTER LE CH?UR)



Passion du feu sauvage et tempérament impossible

La nymphe tagliongrisi l'usure ondine

Victoria plaquée et clémentine mince

Comme les chutes d'eau crinolinées que les nymphes portent sous les châles

On voit des parasols élégants flottant

Les amazones portent du bleu balzarine

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