Asleep At The Wheel - The Wallflowers

Do you ever stop to count all the invitations

At the end of the day when it comes down to one decision

Of dead beat girls and freaks at a peoples convention,

All these sugars with no vitamin sensation.



Do you ever stop to look over old relations,

Or look to the belly of another one's emotions,

Someone young in the winds of a revolution

Trying to save his face in the evolution.



Asleep at the wheel,

No windshield,

But you know that the streets

Here don't change.



He's kept alive in the chain of mental starvation,

Bone rail skinny, only feeding off frustration.

Unlike you who seem bred from corruption

Feeding off the plates of an ununited nation.



Asleep at the wheel,

No windshield,

But you know that the streets

Here don't change.



With a lover in the street whose waiting to make a connection

To be the mother to the soul of your next abortion,

She'll steal your money with the eyes of a baby's complexion

Then she'll laugh at you and your sexual invention.



Smelling like a rose, in the flowers of devotion,

Devoted the heat of a spotlight in motion,

With a face full of mud even though you were only joking

As if you really understood the value of isolation.



Asleep at the wheel,

No windshield,

But you know that the streets

Here don't change.



Your tongue so fast like a freight train coming on rollin'

Every smile you give's just to keep your mouth from clothin'

Every engine burns as a sign of the explosion

Locked in neutral your engines are broken.



Like candle wax that sun melts into the ocean,

Like the moon that lights the tracks of the old train station,

You can color in the lines of mother earth's addictions,

And not hold a gun in the face of the Earth's abduction



Asleep at the wheel,

No windshield,

But you know that the streets

Here don't change

Arrêtez-vous de compter toutes les invitations

En fin de compte, quand il s'agit d'une décision

Des filles battues à mort et des monstres lors d'une convention populaire,

Tous ces sucres sans sensation de vitamines.



Arrêtez-vous jamais de regarder d'anciennes relations,

Ou regardez le ventre des émotions d'autrui,

Quelqu'un de jeune dans le vent d'une révolution

Essayer de sauver son visage dans l'évolution.



Endormi au volant,

Pas de pare-brise,

Mais tu sais que les rues

Ici ne change pas.



Il est maintenu en vie dans la chaîne de la famine mentale,

Rail osseux maigre, ne se nourrissant que de frustration.

Contrairement à vous qui semblez issu de la corruption

Se nourrir des assiettes d'une nation non unie.



Endormi au volant,

Pas de pare-brise,

Mais tu sais que les rues

Ici ne change pas.



Avec un amoureux dans la rue en attente de se connecter

Être la mère de l'âme de votre prochain avortement,

Elle volera votre argent avec les yeux du teint d'un bébé

Ensuite, elle se moquera de vous et de votre invention sexuelle.



Sentant comme une rose, dans les fleurs de la dévotion,

Consacré la chaleur d'un projecteur en mouvement,

Avec un visage plein de boue alors que tu plaisantais seulement

Comme si vous aviez vraiment compris la valeur de l'isolement.



Endormi au volant,

Pas de pare-brise,

Mais tu sais que les rues

Ici ne change pas.



Ta langue si vite comme un train de marchandises qui roule

Chaque sourire que vous donnez est juste pour empêcher votre bouche de s'habiller

Chaque moteur brûle en signe d'explosion

Bloqué au point mort, vos moteurs sont cassés.



Comme la cire de bougie que le soleil fond dans l'océan,

Comme la lune qui éclaire les rails de l'ancienne gare,

Vous pouvez colorier les lignes des addictions de la Terre Mère,

Et ne pas tenir un pistolet face à l'enlèvement de la Terre



Endormi au volant,

Pas de pare-brise,

Mais tu sais que les rues

Ici ne change pas