Our Dying Island [7:07] - Skyclad

I woke from my daydream--discovered my nightmare was real,

At the altar of progress to gods of ambition we kneel,

Our database deities--they cannot save us,

Microchip miracles only enslave us.

The high priests of high finance claim that their actions are wise--

But our planet still dies. . .



It dies for the want of more people who care 'bout the poisons we

pump in the seas and the air,

Yet blissfully ignorant--still unaware,

We strive for a future entwined with despair.

You say, "Why waste concern on the rivers and trees--they belong to

mankind to exploit as we please?"

Face up to the fact that mankind's a disease--irrelevant microbes

with colour T.V.s.



Tell me just what kind of fools would laugh and stare death in the face?

Only to worst kind of fools (like you and I--the human race).

If we laugh for long enough it could well be our epitaph,

Mother Earth will laugh the loudest--She will have the final laugh.



BUT WAIT--the time has come to realise,

BELIEVE--the truth our eyes will not disguise.

SPEAK OUT--to say, "It's no concern of mine,"

DECEIVED--is to be party to the crime.



We all toe the line and swallow the lies--and our island dies.



We fashion a world filled with icons of concrete and steel,

Let computers dictate our emotions--determine the way we should

feel.

Turn our backs to the future now our days are numbered,

And where will we run to when this world is plundered?

Your conscience a whisper drowned out when your avarice cries--

And humanity dies. . .



Without hot winds or tower blocks crashing--no silver-lined mushroom

clouds herald man's passing,

From the Garden of Eden--into death everlasting,

Such a high price to pay for what we took without asking.

Stupidity's legacy is passed down the years--as our knowledge

increases dispelling the fears

That the ghosts of the past may again reappear--as the dawn of the

silent apocalypse nears.



Tell me just what kind of fools would laugh and stare death in the

face?

Only the worst kind of fools (like you and I--the human race).

If we laugh for long enough it could well be our epitaph,

Mother Earth will laugh the loudest--She will have the final laugh.



(The advent of insanity--no future for humanity.

You pander to your vanity--it blinds you to reality.

In temples of indifference we hail the gods of ignorance,

And sacrifice our final chance--behold the death of innocence.)



BUT WAIT--the end is near so we must choose,

BELIEVE--that we have everything to lose.

SPEAK OUT--if empty words are all we're worth,

DECEIVED--it is the end for Mother Earth.



We all toe the line and swallow the lies--and our island dies.



If we think the world is our oyster we'll surely choke on the pearl,

It is ours for a while to respect not defile--but minds drunk with

power still whirl.

The lands we dispute are not ours to pollute--neither the air that

we breathe,

But how will we ever see reason when we can't see the wood for the trees.



Now we hold the future in the palm of our hand--place your faith

In 'Rainbow Warriors' not castles of sand,

The hourglass is empty time is slipping away--so prepare your

excuses for the Judgement Day.

Court is now in session--Mother Nature presides,

The jury are our children--whose futures we've denied.

The evidence conclusive--we have no alibi,

The victim was our planet--the verdict: MATRICIDE.



BUT WAIT--the time has come to realise,

BELIEVE--the truth our eyes will not disguise.

SPEAK OUT--to say, "It's no concern of mine,"

DECEIVED--is to be party to the crime.

BUT WAIT--the end is near so we must choose,

BELIEVE--that we have everything to lose.

SPEAK OUT--if empty words are all we're worth,

DECEIVED--it is the end for Mother Earth.

Je me suis réveillé de ma rêverie - j'ai découvert que mon cauchemar était réel,

Sur l'autel du progrès vers les dieux de l'ambition, nous nous agenouillons,

Nos divinités de base de données - elles ne peuvent pas nous sauver,

Les miracles de micropuces ne font que nous asservir.

Les grands prêtres de la haute finance affirment que leurs actions sont sages--

Mais notre planète meurt encore. . .



Il meurt faute de plus de gens qui se soucient des poisons que nous

pomper dans les mers et l'air,

Pourtant, parfaitement ignorant - toujours inconscient,

Nous aspirons à un avenir entrelacé de désespoir.

Vous dites: "Pourquoi gaspiller le souci des rivières et des arbres - ils appartiennent à \u003cbr />
l'humanité à exploiter à notre guise? "

Faire face au fait que l'humanité est une maladie - des microbes non pertinents

avec couleur T.V.s.



Dites-moi juste quel genre de fous riraient et regarderaient la mort en face?

Seulement aux pires imbéciles (comme vous et moi - la race humaine).

Si nous rions assez longtemps, cela pourrait bien être notre épitaphe,

La Terre Mère rira le plus fort - Elle aura le dernier rire.



MAIS ATTENDRE - le moment est venu de réaliser,

CROIRE - la vérité que nos yeux ne déguiseront pas.

PARLEZ - pour dire: "Ce n'est pas mon souci",

TROMPE - doit être partie au crime.



Nous suivons tous la ligne et avalons les mensonges - et notre île meurt.



Nous façonnons un monde rempli d'icônes de béton et d'acier,

Laisser les ordinateurs dicter nos émotions - déterminer la façon dont nous devons

sentir.

Tournons le dos à l'avenir maintenant nos jours sont comptés,

Et où irons-nous quand ce monde sera pillé?

Votre conscience un chuchotement s'est noyé quand votre avarice pleure--

Et l'humanité meurt. . .



Sans vents chauds ni blocs de tour ne s'écraser - pas de champignon argenté \u003cbr />
les nuages ​​annoncent le passage de l'homme,

Du jardin d'Eden - à la mort éternelle,

Un prix si élevé à payer pour ce que nous avons pris sans demander.

L'héritage de la stupidité se transmet au fil des ans - comme le savent nos connaissances

augmente dissiper les peurs

Pour que les fantômes du passé réapparaissent à nouveau - à l'aube du

apocalypse silencieuse approche.



Dites-moi juste quel genre d'idiots riraient et regarderaient la mort dans le

visage?

Seuls les pires imbéciles (comme vous et moi - la race humaine).

Si nous rions assez longtemps, cela pourrait bien être notre épitaphe,

La Terre Mère rira le plus fort - Elle aura le dernier rire.



(L'avènement de la folie - pas d'avenir pour l'humanité.

Vous plongez dans votre vanité - cela vous aveugle à la réalité.

Dans les temples de l'indifférence, nous saluons les dieux de l'ignorance,

Et sacrifiez notre dernière chance - voici la mort de l'innocence.)



MAIS ATTENDRE - la fin est proche donc nous devons choisir,

CROYONS - que nous avons tout à perdre.

PARLEZ - si les mots vides valent tout,

TROMPE - c'est la fin pour la Terre Mère.



Nous suivons tous la ligne et avalons les mensonges - et notre île meurt.



Si nous pensons que le monde est notre huître, nous allons sûrement étouffer la perle,

Il nous appartient pendant un certain temps de ne pas respecter les souillures - mais les esprits ivres de

la puissance tourbillonne encore.

Les terres que nous contestons ne sont pas les nôtres à polluer - ni l'air qui

nous respirons,

Mais comment verrons-nous jamais la raison quand nous ne pouvons pas voir le bois pour les arbres.



Maintenant, nous tenons l'avenir dans la paume de notre main - placez votre foi

Dans "Rainbow Warriors" pas des châteaux de sable,

Le sablier est vide, le temps s'échappe, alors préparez votre

excuses pour le Jour du Jugement.

La Cour est maintenant en session - Mère Nature préside,

Le jury est nos enfants - dont nous avons nié l'avenir.

Les preuves sont concluantes - nous n'avons pas d'alibi,

La victime était notre planète - le verdict: MATRICIDE.



MAIS ATTENDRE - le moment est venu de réaliser,

CROIRE - la vérité que nos yeux ne déguiseront pas.

PARLEZ - pour dire: "Ce n'est pas mon souci",

TROMPE - doit être partie au crime.

MAIS ATTENDRE - la fin est proche donc nous devons choisir,

CROYONS - que nous avons tout à perdre.

PARLEZ - si les mots vides valent tout,

TROMPE - c'est la fin pour la Terre Mère.