Silence in a Beloved Scream - Sacrilege

Like the shadow from Mordor, creeping slowly forward,

Unleashed from it's sanctuary by the devil in man,

The world thrown into torm

ent by their uncarping greed,

We stare into the face of death screaming to be freed.

Their control is complete, we the voiceless have none,

Beaten into defeat by the arm of the strong,

Now the shadow gets darker for they've stolen the sun,

And the sale of our earth has already begun.

Like Durins bane, rising of from the deep,

There is evil at work while the people do sleep,

As they plunder the earth, still we sit back and watch,

Their wrath consumes all that would stand in their path.

G: AT DEATH DOOR

The new day is dawning they start counting the dead,

The hard swollen bellies of the children not fed,

Their land dry and parched still they pray for the rain,

The massacre continous yet again and again.

Year after year the lands ring deaths bell,

The childrens blind eyes have a sad tale to tell,

Their limbs bent and twisted, their kinds hold no spark,

They're crying in vain for no light breaks the dark.

The land holds the hammer but mankind deals the blow,

Economics and pro

fit before compassion we show,

Our excesses waste as the wealthy grow fat,

Rather than give to the needy they'll let the food rot.

At death door they stand, only suffering they know.

Comme l'ombre du Mordor, rampant lentement vers l'avant,

Libéré de son sanctuaire par le diable en l'homme,

Le monde en marche

par leur avidité insatiable,

Nous regardons le visage de la mort en criant d'être libéré. ​​

Leur contrôle est complet, nous les sans voix n'en avons pas,

Battu dans la défaite par le bras du fort,

Maintenant l'ombre s'assombrit car ils ont volé le soleil,

Et la vente de notre terre a déjà commencé.

Comme le fléau de Durins, surgissant des profondeurs,

Il y a du mal au travail pendant que les gens dorment,

Alors qu'ils pillent la terre, nous restons assis et regardons,

Leur colère consume tout ce qui se trouverait sur leur chemin.

G: À LA PORTE DE LA MORT

Le nouveau jour se lève, ils commencent à compter les morts,

Le ventre dur et gonflé des enfants non nourris,

Leur terre sèche et desséchée encore ils prient pour la pluie,

Le massacre continue encore et encore.

Année après année, les terres sonnent la cloche de la mort,

Les yeux aveugles des enfants ont une triste histoire à raconter,

Leurs membres pliés et tordus, leurs espèces ne retiennent aucune étincelle,

Ils pleurent en vain car aucune lumière ne brise l'obscurité.

La terre tient le marteau mais l'humanité porte le coup,

Économie et pro

en forme avant la compassion que nous montrons,

Nos excès gaspillent à mesure que les riches grossissent,

Plutôt que de donner aux nécessiteux, ils laisseront la nourriture pourrir.

À la porte de la mort, ils se tiennent, seuls la souffrance qu'ils connaissent.