Words Of Fire Deeds Of Blood - Robertson Robbie

Perhaps you think the Creator sent you here to dispose of us as you see

fit

If I thought you were sent by the creator

I might be induced to think you had a right to dispose of me

Do not misunderstand me

But understand me fully with reference to my affection for the land

I never said the land was mine to do with as I choose

The one who has a right to dispose of it is the one who has created it



I claim a right to live on my land

And accord you the privilege to return to yours

Brother we have listened to your talk

Coming from our father the great White Chief at Washington

And my people have called upon me to reply to you

And in the winds which pass through these aged pines

We hear the moanings of their departed ghosts



And if the voice of our people could have been heard

That act would never have been done

But alas though they stood around they could neither be seen or heard

Their tears fell like drops of rain

I hear my voice in the depths of the forest

But no answering voice comes back to me

All is silent around me

My words must therefore be few

I can now say no more



He is silent for he has nothing to answer when the sun goes down

Peut-être pensez-vous que le Créateur vous a envoyé ici pour vous débarrasser de nous comme vous le voyez

ajustement

Si je pensais que vous aviez été envoyé par le créateur

Je pourrais être amené à penser que vous aviez le droit de disposer de moi

Ne vous méprenez pas

Mais comprenez-moi pleinement en référence à mon affection pour la terre

Je n'ai jamais dit que la terre était à moi à voir avec ce que je voulais

Celui qui a le droit d'en disposer est celui qui l'a créé



Je revendique le droit de vivre sur mes terres

Et vous accorder le privilège de revenir dans le vôtre

Frère, nous avons écouté votre discours

Venant de notre père le grand chef blanc à Washington

Et mon peuple m'a appelé à vous répondre

Et dans les vents qui traversent ces vieux pins

Nous entendons les gémissements de leurs fantômes disparus



Et si la voix de notre peuple avait pu être entendue

Cet acte n'aurait jamais été fait

Mais hélas bien qu'ils se tenaient là, ils ne pouvaient ni être vus ni entendus
Leurs larmes coulaient comme des gouttes de pluie

J'entends ma voix au fond de la forêt

Mais aucune voix de réponse ne me revient

Tout est silencieux autour de moi

Mes mots doivent donc être peu nombreux

Je ne peux plus en dire plus



Il se tait car il n'a rien à répondre quand le soleil se couche