An American Body - Pogues

The cadillac stood by the house and the yanks they were within

And the tinker boys they hissed advice "Hot wire her with a pin"

We turned and shook as we had a look in the room where the dead man lay

So big Jim Dwyer made his last trip to the shores where his fathers laid



Fifteen minutes later we had our first taste of whiskey

There was uncles giving lectures on ancient Irish history

The men all started telling jokes and the women they got frisky

At five o' clock in the evening every bastard there was pisskey



Fare thee well going away there's nothing left to say

Farewell to New York City boys to Boston and PA

He took them out with a well-aimed clout he was often heard to say

I'm a free born man of the USA



He fought the champ in Pittsburgh and he slashed him to the ground

He took on Tiny Tartanella and it only went one round

He never had no time for reds for drink or dice or whores

But he never threw a fight when the fight was right so they sent him to the

war



Fare thee well going away there's nothing left to say

With a slainte Joe and Erin go my love's in Amerikay

The calling of the rosary spanish wine from far away

I'm a free born man of the USA



This morning on the harbour when I said goodbye to you

I remember how I swore that I'd come back to you one day

And as the sunset came to meet the evening on the hill

I told you I'd always love you I always did and I always will



Fare thee well gone away there's nothing left to say

'cept to say adieu to your eyes as blue as the water in the bay

And to big Jim Dwyer the man of wire who was often heard to say

I'm a free born man of the USA



(Shane MacGowan)



Submitted by Todd Horton

La cadillac se tenait à côté de la maison et des yanks dans lesquels ils se trouvaient

Et les bricoleurs, ils ont sifflé des conseils "Faites-lui un fil chaud avec une épingle"

Nous nous sommes retournés et avons tremblé en jetant un ?il dans la pièce où gisait le mort

Tellement grand Jim Dwyer a fait son dernier voyage sur les rives où ses pères ont couché \u003cbr />


Quinze minutes plus tard, nous avons eu notre premier goût de whisky

Il y avait des oncles qui donnaient des conférences sur l'histoire ancienne de l'Irlande

Les hommes ont tous commencé à raconter des blagues et les femmes ils sont devenus fringants

A cinq heures du soir, chaque salaud il y avait pisskey



Fare thee well going away il n'y a plus rien à dire

Adieu les garçons de New York à Boston et en Pennsylvanie

Il les a sortis avec un poids bien ciblé, il a souvent entendu dire

Je suis un homme libre des USA



Il a combattu le champion à Pittsburgh et il l'a écrasé au sol

Il a affronté Tiny Tartanella et il n'a fait qu'un tour

Il n'a jamais eu le temps de boire des rouges ou de dés ou de putes

Mais il ne s'est jamais battu quand le combat était bon alors ils l'ont envoyé au

guerre



Fare thee well going away il n'y a plus rien à dire

Avec une slainte Joe et Erin vont mon amour à Amerikay

L'appel du rosaire vin espagnol de loin

Je suis un homme libre des USA



Ce matin sur le port quand je vous ai dit au revoir

Je me souviens comment j'ai juré que je reviendrais vers toi un jour

Et comme le coucher du soleil est venu rencontrer le soir sur la colline

Je t'ai dit que je t'aimerai toujours, je t'ai toujours fait et je t'aimerai toujours


Fare thee bien parti il ​​n'y a plus rien à dire

'cept de dire adieu à tes yeux bleus comme l'eau de la baie

Et au grand Jim Dwyer l'homme de fil qui a souvent été entendu dire

Je suis un homme libre des USA



(Shane MacGowan)



Soumis par Todd Horton