Lizards - Phish

Passing through the corridor I came upon an aging knight



Who leaned against the wall in gnarly armor



He was on his way to see the king



Wilson Wilson Wilson



He led me through the streets of Prussia talking



As he tried to crush a bug that scurried underneath his bootheel



He said there was a place where we should go



So he lead me through the forest to the edge of a lagoon by which



We wandered 'til we reached a bubbly spring



The knight grew very quiet as we stood there



Then he lifted up his visor and he turned to me and he began to sing





He said I come from the land of darkness



I said I come from the land of doom



He said I come from the land of Gamehendge



From the land of the big baboon



But I'm never never going back there



And I couldn't if I tried



'Cause I come from the land of Lizards



And the Lizards they have died



And the Lizards they have died



And the Lizards they have died



And the Lizards they have...





He told me that the Lizards were a race of people practically extinct



From doing things smart people don't do



He said that he was once a Lizard too...



His name was Rutherford the Brave and he was on a quest to save



His people from the fate that lay before them.



Their clumsy end was perilously near



The Lizards would be saved, he said, if they could be enlightened



By the writings of the Helping Friendly Book



In all of Prussia only one existed



And Wilson had declared that any person who possessed it was a crook





chorus





The Helping Friendly Book, it seemed, possessed the ancient secrets



Of eternal joy and never-ending splendor



The trick was to surrender to the flow



We walked along beneath the moon



He lead us through the bush 'till soon



We saw before our eyes a raging river



He said that we could swim it if we tried



And saying this the knight dove in forgetting that his suit of arms



Would surely weigh him down and so he sunk



And as his body disappeared before me



I bowed my head in silence and remembered all thoughts that he had thunk





chorus









But Rutherford and Forbin weren't alone. And suddenly an unexpected movement caught his eye. On the far side of the river he saw a shaggy creature standing in the weeds; who stared across at Forbin with an unrelenting gaze. A gigantic mass of muscles and claws. The hideous beast reared back and hurled himself in the water and swam toward the region where Rutherford lay. And in a flash, the beast was gone, underneath the surface to the frosty depths below while Forbin, bewildered, waited alone.



The seconds dragged by in what seemed like hours till finally the colonel felt it all had been a dream. Defeated, he bowed his head then turned to go. Suddenly with a roar, the creature emerged before him and held the brave knight's body to the sky. And the creature laid the knight upon the shore. And the colonel fell beside his friend in prayer that he'd survive. And Rutherford, brave Rutherford was alive.





Forbin and the unit monster were crouched over the soggy knight carefully removing his bulky helmet when the colonel heard a sound behind him. He turned around and came face to face with an enormous shaggy horse-like creature covered from head to tail with alternating blotches of brown and white. It was a two-toned multi-beast, and atop the multi-beast sat the most beautiful woman the colonel had ever seen. After fifty-two years of undaunted bachelorhood, the colonel felt a feeling rush over him as he had never felt before.

En traversant le couloir, je suis tombé sur un chevalier vieillissant



Qui s'appuya contre le mur en armure noueuse



Il était en route pour voir le roi



Wilson Wilson Wilson



Il m'a conduit à travers les rues de la Prusse en parlant



Alors qu'il tentait d'écraser un insecte qui se précipitait sous son volant



Il a dit qu'il y avait un endroit où nous devrions aller



Alors il m'a conduit à travers la forêt jusqu'au bord d'un lagon par lequel



Nous avons erré jusqu'à atteindre un printemps pétillant



Le chevalier est devenu très calme alors que nous nous tenions là \u003cbr />


Puis il a levé sa visière et il s'est tourné vers moi et il a commencé à chanter





Il a dit que je venais du pays des ténèbres



J'ai dit que je venais du pays du malheur



Il a dit que je venais du pays de Gamehendge



Du pays du grand babouin



Mais je n'y retournerai jamais jamais



Et je ne pourrais pas si j'essayais



Parce que je viens du pays des lézards



Et les lézards qu'ils sont morts



Et les lézards qu'ils sont morts



Et les lézards qu'ils sont morts



Et les lézards qu'ils ont ...





Il m'a dit que les Lézards étaient une race de personnes pratiquement éteintes



De faire des choses que les gens intelligents ne font pas



Il a dit qu'il était autrefois un lézard aussi ...



Son nom était Rutherford the Brave et il était en quête de sauver



Son peuple du sort qui s'offrait à lui.



Leur extrémité maladroite était dangereusement proche de



Les Lézards seraient sauvés, a-t-il dit, s'ils pouvaient être éclairés



Par les écrits du Helping Friendly Book



Dans toute la Prusse, un seul existait



Et Wilson avait déclaré que toute personne qui le possédait était un escroc





choeur





Le livre amical aidant, semblait-il, possédait les anciens secrets



De joie éternelle et de splendeur sans fin



L'astuce était de se rendre au courant



Nous avons marché sous la lune



Il nous a conduits à travers la brousse jusqu'à bientôt \u003cbr />


Nous avons vu sous nos yeux une rivière déchaînée



Il a dit que nous pouvions nager si nous essayions



Et en disant cela, le chevalier a plongé en oubliant que ses armoiries



Serait sûrement alourdir et donc il a coulé \u003cbr />


Et comme son corps a disparu devant moi



J'ai incliné la tête en silence et je me suis souvenu de toutes les pensées qu'il avait crues





choeur









Mais Rutherford et Forbin n'étaient pas seuls. Et soudain, un mouvement inattendu a attiré son attention. De l'autre côté de la rivière, il a vu une créature hirsute debout dans les mauvaises herbes; qui regarda Forbin avec un regard implacable. Une masse gigantesque de muscles et de griffes. La bête hideuse se cabra et se précipita dans l'eau et nagea vers la région où gisait Rutherford. Et en un éclair, la bête était partie, sous la surface jusqu'aux profondeurs glaciales en dessous tandis que Forbin, perplexe, attendait seul.



Les secondes passèrent en ce qui semblait être des heures jusqu'à ce que finalement le colonel sentit que tout cela n'avait été qu'un rêve. Vaincu, il baissa la tête puis se tourna pour partir. Soudain, avec un rugissement, la créature émergea devant lui et tint le corps du brave chevalier vers le ciel. Et la créature a étendu le chevalier sur le rivage. Et le colonel est tombé à côté de son ami dans la prière pour qu'il survive. Et Rutherford, le brave Rutherford était vivant.





Forbin et le monstre de l'unité étaient accroupis sur le chevalier détrempé retirant soigneusement son casque encombrant lorsque le colonel entendit un bruit derrière lui. Il se retourna et se retrouva face à face avec une énorme créature hirsute ressemblant à un cheval couverte de la tête aux queues avec des taches alternées de brun et de blanc. C'était une multi-bête à deux tons, et au sommet de la multi-bête était assise la plus belle femme que le colonel ait jamais vue. Après cinquante-deux ans de célibataire intrépide, le colonel sentit un sentiment se précipiter sur lui comme il ne l'avait jamais ressenti auparavant.