Alone - Parkway Drive

Shifting light outlines my battered form.
Stranger to the world, alone in my abandonment.
A gaining army of white horses, stark warning before the icy front.
The deceiving calm betrays all signs of impeding change.
Evening tide what do you hide, damnation or salvation?
As my skin breaks the blackened surface, the cold is rising, yer all
embracing.
Darkness, erase this lonesome place from my every existence.
An angry sky bares the signs, a distant violence yet to break.
The ocean's travellers cry forth across the waves.
Lightning cracks across a vast horizon, reaching out its hands towards an
unsuspecting shore.
No light to guide.
No ties, no ties to bind.
Evening Tide what do you hide?
To the years spent waiting on the winds of change, this is penance paid.
This is my penance paid, to the morning Sun, whose warmth never found this
young man's face.
Shifting light outlines my battered form.
Stranger to the world.
Alone.
Evening tide, what do you hide? Lightning cracks across a vast horizon,
reaching out its hand towards an unsuspecting shore.
With a final effort I strike out across the swells, seeking only the answers,
maybe horizons hold.

La lumière changeante décrit ma forme battue.
Étranger au monde, seul dans mon abandon.
Une armée gagnante de chevaux blancs, un avertissement sévère devant le front glacé.
Le calme trompeur trahit tous les signes d'entrave au changement.
Marée du soir que cachez-vous, damnation ou salut?
Alors que ma peau brise la surface noircie, le froid monte, vous êtes tous
embrassant.
Obscurité, effacez cet endroit solitaire de toutes mes existences.
Un ciel en colère met à nu les signes, une violence lointaine à briser.
Les voyageurs de l'océan crient à travers les vagues.
La foudre se fissure sur un vaste horizon, tendant la main vers un
rivage sans méfiance.
Pas de lumière pour guider.
Pas de liens, pas de liens à lier.
Tide du soir que cachez-vous?
Aux années passées à attendre le vent du changement, c'est la pénitence payée.
C'est ma pénitence payée, au soleil du matin, dont la chaleur n'a jamais trouvé ça
visage de jeune homme.
La lumière changeante décrit ma forme battue.
Étranger au monde.
Seul.
Marée du soir, que cachez-vous? La foudre se fissure sur un vaste horizon,
tendre la main vers un rivage sans méfiance.
Avec un dernier effort, je frappe à travers la houle, ne cherchant que les réponses,
peut-être que les horizons tiennent.