Fail - Orphaned Land

No surprise this morning, as usual I woke up again to a world that kills itself
repetitively with no shame or fear. The papers were telling me as always in
burning red colors that it's everywhere I'll go. An eternal loop of slavery,
murder, rape, corruption and wars. Same old story in colored versions of death,
death, death. As if we are doomed, sucked and being smoked from far beyond by a
dead star, a black hole, an endless appetite that swallows our light and wants
nothing but more & more & more.

Yes I am too the fuel that feeds this machine, this vast engine of destruction
that takes our lives, our souls and our freedom. And what other choices do I
have in a society that educates me to be stupid. I am brainwashed like a sheep,
so that every liar with a sip of charisma can easily turn himself into my
"shepherd". So, here I am, sitting like a fairy princess, waiting for her
Messiah while happiness is everywhere except here and now. And we all keep on
hanging onto our hopes, while the storm still rages inside.

Slippery tongues fork from my screen
Spewing such lies in the name of the green
They play the game of thrones till one wins
A rule of one liar ends and another beings

So why do we fail to see
And why in this jail are we
Living our life with the threat of fire
We?re losing again all to this mire

Money tied with power, war and bloodlust
They?ll spend our money until none of it lasts
They will send our sons to war to die for a god
That they use as a coin to barter for blood

?Yes sir, no sir? ? can I go home now?
Your thirst for blood has lost me somehow
I was young when they took me;
I am a young man no more
As they used me and threw me like the army?s last whore

A children?s crusade ? we are brothers in arms
A multitude of fools like a rain of falling stars
We walk the road to war while they smoke their cigars
Like a serpent forever feed on its tail
This cycle of death goes on forever gain,
and again? and again?

Pas de surprise ce matin, comme d'habitude je me suis réveillé à nouveau dans un monde qui se tue
répétitivement sans honte ni peur. Les journaux me disaient comme toujours
des couleurs rouges brûlantes que je vais partout. Une boucle éternelle d'esclavage,
meurtre, viol, corruption et guerres. Même vieille histoire dans les versions colorées de la mort,
la mort, la mort. Comme si nous étions condamnés, aspirés et fumés de loin par un
étoile morte, un trou noir, un appétit sans fin qui avale notre lumière et veut
rien de plus et de plus en plus.

Oui je suis aussi le carburant qui alimente cette machine, ce vaste moteur de destruction
qui prend nos vies, nos âmes et notre liberté. Et quels autres choix dois-je
avoir dans une société qui m'apprend à être stupide. Je me lave le cerveau comme un mouton,
de sorte que chaque menteur avec une gorgée de charisme puisse facilement se transformer en mon
"berger". Alors, me voici, assise comme une princesse fée, l'attendant
Le Messie alors que le bonheur est partout sauf ici et maintenant. Et nous continuons tous
accroché à nos espoirs, tandis que la tempête fait toujours rage à l'intérieur.

Fourchette de langues glissantes de mon écran
Cracher de tels mensonges au nom du vert
Ils jouent au trône jusqu'à ce qu'on gagne
Une règle d'un menteur se termine et d'un autre être

Alors pourquoi ne voyons-nous pas
Et pourquoi dans cette prison sommes-nous
Vivre notre vie avec la menace du feu
Nous perdons encore une fois dans cette boue

L'argent lié au pouvoir, à la guerre et à la soif de sang
Ils dépenseront notre argent jusqu'à ce que rien ne dure
Ils enverront nos fils à la guerre pour mourir pour un dieu
Qu'ils utilisent comme pièce pour troquer du sang

? Oui monsieur, non monsieur? ? puis-je rentrer chez moi maintenant?
Ta soif de sang m'a perdu en quelque sorte
J'étais jeune quand ils m'ont emmené;
Je ne suis plus un jeune homme
Comme ils m'utilisaient et me jetaient comme la dernière putain de l'armée

Une croisade pour les enfants? nous sommes frères d'armes
Une multitude de fous comme une pluie d'étoiles filantes
Nous marchons sur la route de la guerre pendant qu'ils fument leurs cigares
Comme un serpent qui se nourrit pour toujours de sa queue
Ce cycle de mort continue à gagner pour toujours,
et encore? et encore?