At The Mountains Of Madness - Orphanage

...the lavas that restlessly roll

Their sulphurous currents down Yaanek

In the ultimate climes of the pole

That groan as they roll down Mount Yaanek

In the realms of the boreal pole...



it's been not so long I accidently sold

my former frame of reference to the cold

thinking back, remembering, my tale seems so unreal

I'm closed up but the time has come to reveal



anxious, also ignorant, my investigative mind

had led me there and led me to be so blind

haunted are the mountains, I plead for your restraint

or hope for men's survival will be faint



all my days are nightmares and memories haunt my brain

my former mind of knowledge has gone insane



you'll never hear this twice cause once I had seen

the sheen that filled the sky soon I'd die the mounts drew the bounds

and I climbed one step too high soon I'd die



the cold that had enwrapped my heart is bound to freeze my eyes

the truth that seemed on our side had covered all with lies

take off my hands, take off my feet take off my ears,

rip out my tongue but don't hurt my mind, don't hurt my sense

don't hurt my intellectual powers



what is frozen you don't feel, what hurts is what you lose

but at this moment I gave up, the ice had blown my fuse

made out of cold, made out of fear God's will attracts,

God; s will is here



all had begun, when led by fear, right at the end of the world

high in the sky, here at the end of the world

... les laves qui roulent sans cesse

Leurs courants sulfureux descendant Yaanek

Dans les climats ultimes du pôle

Ce gémissement alors qu'ils roulent sur le mont Yaanek

Dans les royaumes du pôle boréal ...



ça fait pas si longtemps que j'ai vendu par accident

mon ancien cadre de référence au froid

repensant, rappelant, mon histoire semble tellement irréelle

Je suis fermé mais le moment est venu de le révéler



anxieux, ignorant aussi, mon esprit d'investigation

m'avait conduit là-bas et m'avait conduit à être si aveugle

hantées sont les montagnes, je plaide pour votre retenue

ou l'espoir pour la survie des hommes sera faible



tous mes jours sont des cauchemars et des souvenirs hantent mon cerveau

mon ancien esprit de connaissance est devenu fou



tu n'entendras jamais ça deux fois parce qu'une fois que j'ai vu

l'éclat qui remplissait le ciel bientôt je mourrais les montures dessinaient les limites

et j'ai grimpé un cran trop haut bientôt je mourrais



le froid qui a enveloppé mon c?ur ne peut que me geler les yeux

la vérité qui semblait de notre côté avait tout couvert de mensonges

enlève mes mains, enlève mes pieds enlève mes oreilles,

arrache ma langue mais ne me blesse pas l'esprit, ne blesse pas mes sens

ne blesse pas mes pouvoirs intellectuels



ce qui est gelé tu ne ressens pas, ce qui fait mal c'est ce que tu perds

mais à ce moment j'ai abandonné, la glace avait grillé mon fusible

fait de froid, fait de peur, la volonté de Dieu attire,

Dieu; La volonté est ici



tout avait commencé, conduit par la peur, au bout du monde

haut dans le ciel, ici au bout du monde