Common Ground - Oil Midnight

These are not dispassionate words of the cool

The headline still rules the editor's a fool

Shall we douse out the flames or will everybody fuse

And leave us standing here tomorrow

I heard a calling out. A cry from the heart

From the towns of cement and no beauty

A whisper it turned howl, man he didn't know

He was standing waiting for tomorrow

Nothing's left nothing's found there must be some common ground

I could never figure the calendars flow

Nor can I work out how the wild wind blows but I'm ready from within and

we're starting to go

Away from the place of no tomorrow

Oh the wreching fields are a terrible place, with a sulphurous smell and

a frightening pace and the hook goes in early and the critic is king and

it's hard to stay human and stand in the ring there's no time to be

absent, a clown or a fool

While shylock is smiling we're loaded like mules

If we surrender ourselves to industrial rules

We'll wake up in the wreckage of tomorrow

Ce ne sont pas des mots sans passion

Le titre régit toujours que l'éditeur est un imbécile

Allons-nous éteindre les flammes ou tout le monde va-t-il fusionner

Et laissez-nous debout ici demain

J'ai entendu un appel. Un cri du c?ur

Des villes de ciment et pas de beauté \u003cbr />
Un chuchotement s'est transformé en hurlement, mec il ne savait pas

Il attendait demain

Rien n'a laissé rien n'a été trouvé il doit y avoir un terrain d'entente

Je n'ai jamais pu comprendre le déroulement des calendriers

Je ne peux pas non plus comprendre comment le vent sauvage souffle mais je suis prêt de l'intérieur et

nous commençons à y aller

Loin du lieu sans lendemain

Oh les champs en ruine sont un endroit terrible, avec une odeur sulfureuse et

un rythme effrayant et le crochet rentre tôt et le critique est roi et

il est difficile de rester humain et de se tenir sur le ring il n'y a pas le temps d'être

absent, un clown ou un imbécile

Pendant que Shylock sourit, nous sommes chargés comme des mules

Si nous nous abandonnons aux règles industrielles

Nous nous réveillerons dans l'épave de demain