She With Whom Compard The Alpes Are Vallies - Of The Wand And The Moon

I wish to fire the trees af all these forrest

I give the Sunne a last farewell each evening

I curse the fidling finders out of Musicke

With envie i doo hate the loftie mountains

And with despite despise the humble vallies

I doo detest night, evening, day, and morning



For she, whose parts maintainde a perfect musique

Whose beawties shin'de more then the blushing morning

Who much did passe in state the stately mountains

In straightnes past the Cedars of the forest

Hath cast me wretch into eternally evening

By taking her two Sunnes from these darke vallies



Curse to my selfe my prayers is, the morning

My fire is more, then can be made with forrests

My state more base, then are the basest vallies

I wish no evenings more to see, each evening

Shamed I hate my selfe in sight of mountaines

And stoppe mine ears, lest I growe mad with Musicke



For she, with whorm compar'd, the Alpes are vallies

She, whose lest word brings from the spheares their musique

At whose approach the Sunne rase in the evening

Who, where she went, bare in her forhead morning

Is gone, is gone from these our spolyed forrests

Turning to desarts our best pastur'de mountaines



[Adapted from Sir Philip Sidneys: "The Countesse of pembrokes arcadia (1598)"]

Je souhaite tirer les arbres de toutes ces forêts

Je fais mes derniers adieux au Sunne chaque soir

Je maudis les trouveurs fidèles de Musicke

Avec envie je déteste les montagnes loftie

Et malgré le mépris des humbles vallées

Je déteste la nuit, le soir, le jour et le matin



Pour elle, dont les parties maintiennent une musique parfaite

Dont les castors brillent plus que le matin rougissant

Qui a beaucoup passé dans l'état des montagnes majestueuses

En ligne droite devant les Cèdres de la forêt

Hath m'a jeté misérable dans l'éternelle soirée

En prenant ses deux Sunnes de ces vallées sombres



La malédiction pour moi-même mes prières est, le matin

Mon feu est plus, alors peut être fait avec des forrests

Mon état est plus basique, alors ce sont les vallées les plus bas

Je ne souhaite plus voir le soir, chaque soir

Dommage que je déteste mon selfe à la vue des montagnes

Et bouchons mes oreilles, de peur que je ne devienne fou avec Musicke



Pour elle, avec un ver comparable, les Alpes sont des vallées

Elle, dont le moindre mot apporte des sphéres leur musique

A l'approche de qui le Sunne se rase le soir

Qui, où elle est allée, nue dans sa tête matin

Est parti, est parti de ces nos forêts spoliées

Passant aux déserts nos meilleures pâturages de montagne



[Adapté de Sir Philip Sidneys: "La comtesse de pembrokes arcadia (1598)"]