Sex (The Black Angel) (Sullivan, Morrow, Heaton) 1 - New Model Army

- Look at my eyes - you know what it is - I want you, I want you - The way your body moves

beneath that dress - And all the nights I've spent alone in sleeplessness



- It's a hunger that we can fill - Racing, racing - And every nerve tingles with it - I want you,

I want you



- You know the way that I can make you feel - Of all the faces in the crowd, there's only you



- Pull down your hair a little - Open your mouth a little - You're beautiful, you're the best



- This feeling that you know oh so well - Your oldest friend from the fires, the fires of hell

- And I want you now - Driving down - Driving down - Into the fires



- Every stretch and move is like a dream - Eating, biting, scratching - And all there is, is these

racing pulses - And the breathing



Forget all the lies that they gave to you - Believe in this 'cos how could this feeling not be

true - Driving down - Driving down - And I want you now . . . now . . .

- Regarde mes yeux - tu sais ce que c'est - je te veux, je te veux - la façon dont ton corps bouge

sous cette robe - Et toutes les nuits que j'ai passées seules dans l'insomnie



- C'est une faim que nous pouvons combler - Course, course - Et tous les nerfs picotent avec ça - Je te veux,

Je te veux



- Tu sais ce que je peux te faire ressentir - De tous les visages dans la foule, il n'y a que toi



- Tirez un peu vos cheveux - Ouvrez un peu la bouche - Vous êtes belle, vous êtes la meilleure



- Ce sentiment que tu connais si bien - Ton plus vieil ami des incendies, les feux de l'enfer

- Et je te veux maintenant - Conduite vers le bas - Conduite vers le bas - Dans les feux



- Chaque étirement et chaque mouvement est comme un rêve - Manger, mordre, se gratter - Et tout ce qu'il y a, ce sont

impulsions de course - Et la respiration



Oubliez tous les mensonges qu'ils vous ont donnés - Croyez en cela car comment ce sentiment ne pourrait-il pas être

vrai - Conduite vers le bas - Conduite vers le bas - Et je te veux maintenant. . . maintenant . . .