The Fury - Necare

Midst waves of mute dejection...crawl upon malicious spines of dull fury...rage

burning in silence sought by my own wretched heart...born from the ruinous passage

of time...the truth of loss hurls its clenched fists at the fragile strands of

abandoned faith...You are the night...come forth in endless rapture...you are the

night...to sheild thy fallen crest...entangled in the scented tresses of their

desireable women...soft graceful eidolons of light -- if only they were more than

fleeting ghosts...apparitions faded by time and dust...stirring in dark fields of

rememberance where tristful scenes of long departed loves are endlessly

portrayed...one must seize each memory with careful hands kept hidden...and like

rare, exotic flowers beheld by none...clutch them tightly to thy disconsolate heart

and remember each one...for this pain shall soon pass...the soulblight's slow

destruction of what is most precious...of what we hold closest to our impassioned

souls...like the vacant sigh of a thousand dying dreams...you are the night...a

tapestry of light...a nihility of shifting emotions...coalesce into patterned,

empty tears...you depart (from me) and I feel nothing.

Au milieu des vagues de découragement muet ... rampez sur des épines malveillantes de fureur sourde ... rage

brûlant en silence recherché par mon propre c?ur misérable ... né du passage ruineux

du temps ... la vérité de la perte jette ses poings serrés sur les brins fragiles de

foi abandonnée ... Vous êtes la nuit ... venez en extase sans fin ... vous êtes le

nuit ... pour recouvrir ta crête tombée ... empêtré dans les tresses parfumées de leur

femmes désirables ... doux eidolons gracieux de lumière - si seulement ils étaient plus que

fantômes fugaces ... apparitions fanées par le temps et la poussière ... remuant dans les champs sombres de

souvenir où des scènes tristful de longs amours disparus sont sans fin

dépeint ... il faut saisir chaque mémoire avec des mains prudentes gardées cachées ... et comme

des fleurs rares et exotiques que nul ne voit ... les attacher étroitement à ton c?ur inconsolable

et souvenez-vous de chacun ... car cette douleur passera bientôt ... la lenteur du fléau des âmes

destruction de ce qui est le plus précieux ... de ce que nous tenons le plus proche de nos passionnés

âmes ... comme le soupir vacant de mille rêves mourants ... tu es la nuit ... un

tapisserie de lumière ... une nihilité d'émotions changeantes ... fusionnent en motifs,

des larmes vides ... tu pars (de moi) et je ne ressens rien.