Road To Birmingham - Mott the hoople

His feet lay heavy on the road that led to Birmingham

Unseeing eyes, defeated cries, the mysteries of men.

Many hears, the helpless tears that leave the troubled brow

A man once tall, he fought them, but he is older now.



For in your youth, you think the truth will always win the game

Some men are Kings, some men are rooks, some men are pawns to blame

But if your skin is coloured black, well the dice are hidden in

The minds of fools who twist the rules, so you can never win



Birmingham, Birmingham, underneath your face

There's nothing but a space - you're hollow.



Unlighted sky, begins to cry, the shabby coat is weak

And homes with windows dressed in warmth, and mouths that never speak

His mind is dead, the visions spread the past before his feet

And thankfully he wears that dream that shields him from the street



Goodnight my friend, this is the end, you'll never cry again

You'll never have to smile away the bastards and the maimed

Is it too late, or can you wait to take another's hand

And walk together down that road that leads to Birmingham



Birmingham, Birmingham, underneath your face

There's nothing but a space - inside you.



Birmingham, Birmingham, underneath your face

There's

Ses pieds reposaient lourdement sur la route qui menait à Birmingham

Yeux aveugles, cris vaincus, mystères des hommes.

Beaucoup entend, les larmes impuissantes qui laissent le front troublé \u003cbr />
Un homme une fois grand, il les a combattus, mais il est plus âgé maintenant.



Car dans votre jeunesse, vous pensez que la vérité l'emportera toujours

Certains hommes sont rois, certains hommes sont des tours, certains hommes sont des pions à blâmer

Mais si votre peau est de couleur noire, les dés sont bien cachés dans

Les esprits des imbéciles qui tordent les règles, donc vous ne pouvez jamais gagner



Birmingham, Birmingham, sous votre visage

Il n'y a qu'un espace - vous êtes creux.



Ciel non éclairé, commence à pleurer, le pelage minable est faible

Et des maisons avec des fenêtres habillées de chaleur et des bouches qui ne parlent jamais

Son esprit est mort, les visions répandent le passé devant ses pieds

Et heureusement, il porte ce rêve qui le protège de la rue



Bonsoir mon ami, c'est la fin, tu ne pleureras plus jamais

Vous n'aurez jamais à sourire aux salauds et aux mutilés

Est-il trop tard ou pouvez-vous attendre de prendre la main d'un autre

Et marcher ensemble sur cette route qui mène à Birmingham



Birmingham, Birmingham, sous votre visage

Il n'y a qu'un espace - à l'intérieur de vous.



Birmingham, Birmingham, sous votre visage

Il y a