Plague, Waste And Death - Morrigan

A livid heaven scatter his light

And dense clouds gatter the stars from the sky

The sea strikes deep valleys in hell did welcome

And the cold black ocean extinguish the fire of the sun

Oh hear my cry.. plague, waste and death

A deep black shadow, an old oak tree

A burning fire in front of me

A fire-ship on the open sea and flying elves rescue me

Oh my gods, hear my cries

Frozen rain is silent falling, crickets grow damp

Birds put in the calling and annihilate thunder tears the sky

A wretched whimper get out of the sky and the cold autumn breeze

Move over the water as I die

Burning villages, the brooks carry blood, and the death take us in care

And when the sun tomorrow go to rise, we are even never here

Plague, waste and death

Vicious rivers of fire and fog, hopeless await the dark the awakening sunrise

Hear the horse trampling through fern and wood

An age where the axe will prevail

A slight doubt conquered thee, an axe-brandished rider in front of me

A horse, a mane of gold, enchant and bright and horseman blacker than the night

Frozen rain is silent falling, crickets grow damp

Birds put in the calling and annihilate thunder tears the sky

A wretched whimper get out of the sky and the cold autumn breeze

Move over the water as I die

Burning villages, the brooks carry blood, and the death take us in care

And when the sun tomorrow go to rise, we are even never here

Plague, waste and death

Un ciel livide disperse sa lumière

Et les nuages ​​denses gatter les étoiles du ciel

La mer frappe de profondes vallées en enfer a accueilli

Et l'océan noir et froid éteint le feu du soleil

Oh écoute mon cri .. peste, gaspillage et mort

Une ombre d'un noir profond, un vieux chêne

Un feu brûlant devant moi

Un navire de pompiers en pleine mer et des elfes volants me sauvent

Oh mes dieux, entends mes cris

La pluie gelée tombe silencieusement, les grillons deviennent humides

Des oiseaux lancent l'appel et anéantissent le tonnerre déchire le ciel

Un gémissant misérable sort du ciel et la brise froide d'automne

Déplacez-vous sur l'eau pendant que je meurs

Des villages en flammes, les ruisseaux transportent du sang et la mort nous prend en charge

Et quand le soleil se lèvera demain, nous ne serons même jamais là \u003cbr />
Peste, déchets et mort

De vicieuses rivières de feu et de brouillard, sans espoir, attendent le noir le lever du soleil se réveillant

Entendez le cheval fouler la fougère et le bois

Un âge où la hache l'emportera

Un léger doute t'a conquis, un cavalier brandi par une hache devant moi

Un cheval, une crinière d'or, enchante et brillant et cavalier plus noir que la nuit

La pluie gelée tombe silencieusement, les grillons deviennent humides

Des oiseaux lancent l'appel et anéantissent le tonnerre déchire le ciel

Un gémissant misérable sort du ciel et la brise froide d'automne

Déplacez-vous sur l'eau pendant que je meurs

Des villages en flammes, les ruisseaux transportent du sang et la mort nous prend en charge

Et quand le soleil se lèvera demain, nous ne serons même jamais là \u003cbr />
Peste, gaspillage et mort