Voter pour The City Sleeps :
Voter pour The City Sleeps :
Stealing down an ally on a cold dark night
I see a halo in the rain around the street light
I stop and look, and listen to the sound
As the raindrops penetrate the silence all around
Alone, I gaze into the glistening street
The distant thunder echoing my heartbeat
Urging me on to a secret goal
Away from the light from this lamp on a pole
So I turn, slip away into the rain
Drifting like a spirit through the shadows in the lane
Clutching the tools of my trade in my hand
An old box of matches and a gasoline can
Darkness envelopes the scene like a shroud
A veil of emptiness hangs from the clouds
Filling up the cracks in this desolate place
Cradled by the night in an icy embrace
Moving to the town like a ghost in the rain
A dim reflection in a dark window pane
Blackness beckons from every side
Creeping all around like an incoming tide
A broken window in an empty house
I slip inside and begin to douse
The whole place with the fuel that will feed the fire
And push back the night, taking me higher
On out of the darkness in a defeaning roar
The match in my hand is the key to the door
A simple turn of the wrist will suffice
To open a passage to paradise
I pause, I think about the past and the gloom
The smell of gasoline permiates the room
Everyone has a little secret he keeps
I light the fires while the city sleeps
(Like the 4th of July)
The match makes a graceful auk to the floor
And time stands still as I turn for the door
Which expoldes in a fireball and throws me to the street
I hit the ground running with the flames at my feet
Reaching for the night which encoils in the fire
The raindrops hiss like a devilish choir
Dying in the flames with a terrible sound
Calling all the names of the sleepers all around
But then in the arms of the night, they lay
Their dreams sprout wings and fly away
Out of the houses in a gathering flock
Swarming overhead as I hurry down the block
I make my escape with the greatest of ease
And savor the darkness, drop to my knees
And the lightless window, my hand on the latch
I reach in my pocket, and pull out a match
(Like the 4th of July
Voler un allié par une nuit sombre et froide
Je vois un halo sous la pluie autour du réverbère
Je m'arrête et regarde, et j'écoute le son
Alors que les gouttes de pluie pénètrent dans le silence tout autour
Seul, je regarde dans la rue scintillante
Le tonnerre lointain faisant écho à mon rythme cardiaque
Me poussant vers un objectif secret
Loin de la lumière de cette lampe sur un poteau
Alors je me retourne, je me glisse sous la pluie
Dérivant comme un esprit à travers les ombres dans la ruelle
Serrant les outils de mon métier dans ma main
Une vieille boîte d'allumettes et un bidon d'essence
L'obscurité enveloppe la scène comme un linceul
Un voile de vide pend des nuages ​​
Remplir les fissures dans cet endroit désolé \u003cbr />
Bercé par la nuit dans une étreinte glacée
Se déplacer en ville comme un fantôme sous la pluie
Un sombre reflet dans une vitre sombre
La noirceur vous attend de tous les côtés
Rampant tout autour comme une marée montante
Une fenêtre cassée dans une maison vide
Je me glisse à l'intérieur et commence à m'éteindre
Tout le lieu avec le combustible qui alimentera le feu
Et repousse la nuit, m'emmenant plus haut
Sortir de l'obscurité dans un rugissement défiant
L'allumette dans ma main est la clé de la porte
Un simple tour de poignet suffira
Pour ouvrir un passage au paradis
Je m'arrête, je pense au passé et à la morosité \u003cbr />
L'odeur de l'essence imprègne la pièce
Tout le monde a un petit secret qu'il garde
J'allume les feux pendant que la ville dort
(Comme le 4 juillet)
Le match fait un auk gracieux au sol
Et le temps s'arrête quand je me tourne vers la porte
Qui expulse dans une boule de feu et me jette dans la rue
J'ai touché le sol en courant avec les flammes à mes pieds
Atteindre la nuit qui s'enfonce dans le feu
Les gouttes de pluie sifflent comme un ch?ur diabolique
Mourir dans les flammes avec un son terrible
Appeler tous les noms des traverses tout autour
Mais alors dans les bras de la nuit, ils gisaient
Leurs rêves poussent des ailes et s'envolent
Sortir des maisons dans un troupeau de rassemblement
Essaim de frais généraux alors que je me précipite dans le bloc
Je m'échappe avec la plus grande facilité \u003cbr />
Et savoure l'obscurité, tombe à genoux
Et la fenêtre sans lumière, ma main sur le loquet
Je mets la main dans ma poche et je sors une allumette
(Comme le 4 juillet