United State - Luxt

I've forgotten the name of the father.

Forgotten the name of the son.

When I look to their use of the holy ghost,

I think they should fear what's to come.

I've invited the sins of the flesh, I've decidedly taken them in.

When I look to my soul, I don't find it a hole,

but I admit it looks a bit thin.



In this united state.



I have stolen the bread from the alter,

I have tempted the fingers of fate.

I have spit on the grave of the land of the brave

and look to a new united state.

I have pulled the wings off of remembrance,

I have since set alight to the past.

No more wet in these eyes for the lazy,

their head in the sand as the world kicks their ass.



In this united...



Through the cinders I since the horizon,

through the embers the body has stirred.

The end of the world having since come

and gone without whispering so much as a word.

As the sun sends the century packing,

as the dawn threatens not a clean slate.

No where, no way to get back,

and no chance of crashing the gate.



Guess you'll have to take a part in your own fate.

I've bled a fortune worth of lies,

I've caused a wealth of heartfelt pain,

I stand here cold with searing eyes,

look to the sky to bring the rain,

I hold my hoping out of sight,

I hold my doubt between my teeth,

The years catching up to the right,

the truth or lie within belief.

J'ai oublié le nom du père.

Oublié le nom du fils.

Quand je regarde leur utilisation du Saint-Esprit,

Je pense qu'ils devraient craindre ce qui va arriver.

J'ai invité les péchés de la chair, je les ai décidément absorbés.

Quand je regarde mon âme, je ne trouve pas ça un trou,

mais j'avoue que ça a l'air un peu mince.



Dans cet état uni.



J'ai volé le pain à l'autel,

J'ai tenté les doigts du destin.

J'ai craché sur la tombe du pays des braves

et regardez vers un nouvel état uni.

J'ai retiré les ailes du souvenir,

J'ai depuis incendié le passé.

Plus mouillé dans ces yeux pour les paresseux,

leur tête dans le sable alors que le monde leur botte le cul.



Dans cette union ...



A travers les cendres I depuis l'horizon,

à travers les braises, le corps a remué.

La fin du monde est venue depuis

et disparu sans chuchoter autant qu'un mot.

Alors que le soleil envoie le siècle s'emballer,

car l'aube ne menace pas une table rase.

Nulle part, aucun moyen de revenir,

et aucune chance de planter la porte.



Je suppose que vous devrez prendre part à votre propre destin.

J'ai saigné une fortune de mensonges,

J'ai causé beaucoup de douleur sincère,

Je suis ici froid avec des yeux brûlants,

regarde vers le ciel pour apporter la pluie,

Je garde mon espoir hors de vue,

Je tiens mon doute entre mes dents,

Les années se rattrapent à droite,

la vérité ou mentir dans la croyance.