Megaplex - Luxt

As I open my eyes, as I open my walls,

As I open my self I feel you pouring in.

As I swallow your lives, as I swallow your hearts,

As I swallow your filth, I feel you coming in.



I lay awake eternal. infanticidal, cold.

I'm growing, changing, dying this body hours old.

These slabs that make my substance, these windows guide my view,

For every rotting stone I lose, there are a hundred new.



As you come in to me, as you bring to my need,

As you fill up my whole, I feel your violence throb,



My mass is thick and sprawling, I lick the higher clouds,

I root to penetrate the earth infinite dark and loud.

I store the seeds of killing, I echo vaults of pain,

A witness to a million souls, all action, deed and blame.



As you drive to my wounds, as you dampen my womb,

As you sleep in my tombs, I feel your darkness dripping out



if these walls could talk they'd bite right through the ears that listen in

If the streets could bleed the buckets spilled across the century.

If these iron ribs could grind their concrete shell into the words,

of sin and love and hate and fear,

I've heard their tiny souls would freeze.



As I open my eyes, as I open my walls,

As I open my self I feel you pouring in.



I kill the land and suck it dry, I am an entity of man.

Built to serve, observe and cry for all I am, and never die.

Hollow faults and hardened limbs, tongues of iron sucking in.

Home to every tear and fortress and reflection of all will,



I house the death and fucking, I cradle rape and care.

I'm part religion, brothel, factory of disrepair.

I'm everything to some and dream crusher to others still.

An object of desire to risking souls with holes to fill.



As I open my eyes, as I open my walls,-acapo

En ouvrant les yeux, en ouvrant mes murs,

Alors que je m'ouvre, je sens que vous affluez.

Comme j'avale ta vie, comme j'avale ton c?ur,

Alors que j'avale ta saleté, je sens que tu entres.



Je restais éveillé éternel. infanticide, froid.

Je grandis, je change, je meurs depuis des heures.

Ces dalles qui font ma substance, ces fenêtres guident ma vue,

Pour chaque pierre pourrie que je perds, il y en a une centaine de neuves.



Lorsque vous venez vers moi, que vous apportez à mon besoin,

Alors que vous remplissez mon tout, je sens votre violence palpiter,



Ma masse est épaisse et tentaculaire, je lèche les nuages ​​supérieurs,

Je m'enracine pour pénétrer la terre infiniment sombre et bruyante.

Je stocke les graines du meurtre, je fais écho aux voûtes de douleur,

Témoin d'un million d'âmes, toute action, action et blâme.



Alors que vous conduisez vers mes blessures, que vous amortissez mon ventre,

Pendant que vous dormez dans mes tombes, je sens votre obscurité dégouliner



si ces murs pouvaient parler, ils mordraient à travers les oreilles qui écoutent

Si les rues pouvaient saigner, les seaux se sont répandus à travers le siècle.

Si ces nervures de fer pouvaient broyer leur coque en béton dans les mots,

du péché et de l'amour et de la haine et de la peur,

J'ai entendu que leurs petites âmes gèleraient.



En ouvrant les yeux, en ouvrant mes murs,

Alors que je m'ouvre, je sens que vous affluez.



Je tue la terre et la suce à sec, je suis une entité humaine.

Construit pour servir, observer et pleurer pour tout ce que je suis et ne jamais mourir.

Défauts creux et membres durcis, langues de fer aspirées.

Abritant chaque larme et forteresse et reflet de toute volonté,



Je loge la mort et la baise, je berce le viol et les soins.

Je fais partie de la religion, du bordel, de l'usine de délabrement.

Je suis tout pour certains et le broyeur de rêves pour d'autres encore.

Un objet de désir pour risquer les âmes avec des trous à remplir.



En ouvrant les yeux, en ouvrant mes murs, -acapo