If There Was Love - Liza Minelli

Men of affairs, women with power
Satellites talking, to clatter our lives
Banks of predictions, policies made
Prophecies broken, violence deranged (deranged, deranged)
And if there was love, would that be enough?
And if there was love, would that be enough?
Pollsters and planners, incredibly sad
indelibly inking, their names across our lives
Individual freedom, intrinsically curbed
Inspiration nil, slavery ten

And if there was love, would that be enough?
And if there was love, would that be enough?
And if there was love, would that be enough?
And if there was love, would that be enough?

I've been working for a long time
Scattering smiles
Must I swallow my pride?
There's a hole in the sky, as distant and vast
As our moral vacuum, and growing as fast

And if there was love, would that be enough?
And if there was love, would that be enough?
And if there was love, would that be enough?
And if there was love, would that be enough?

"They that have power to hurt and will do none,
That do not do the thing they most do show,
Who, moving others, are themselves as stone,
Unmoved, cold and to temptation slow;
They rightly do inherit heaven's graces
And husband nature's riches from expense;
They are the lords and owners of their faces,
Others but stewards of their excellence.
The summer's flower is to the summer sweet,
Though to itself it only live and die,
But if that flower with base infection meet,
The basest weed outbraves his dignity:
For sweetest things turn sourest by their deeds;
Lilies that fester smell far worse than weeds."
[W. Shakespeare, Sonnet 94]

Des hommes d'affaires, des femmes au pouvoir
Les satellites parlent, pour faire vibrer nos vies
Banques de prédictions, politiques élaborées
Prophéties brisées, violence dérangée (dérangée, dérangée)
Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?
Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?
Sondeurs et planificateurs, incroyablement tristes
encrage indélébile, leurs noms à travers nos vies
Liberté individuelle, intrinsèquement limitée
Inspiration nulle, esclavage dix

Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?
Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?
Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?
Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?

Je travaille depuis longtemps
Sourires dispersés
Dois-je avaler ma fierté?
Il y a un trou dans le ciel, aussi lointain et vaste
Comme notre vide moral, et grandissant aussi vite

Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?
Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?
Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?
Et s'il y avait de l'amour, cela suffirait-il?

"Ceux qui ont le pouvoir de blesser et qui n'en feront rien,
Cela ne fait pas ce qu'ils montrent le plus,
Qui, émouvant les autres, sont eux-mêmes comme la pierre,
Insensible, froid et lent à la tentation;
Ils héritent à juste titre des grâces du ciel
Et époux les richesses de la nature par dépense;
Ils sont les seigneurs et propriétaires de leurs visages,
D'autres mais des gardiens de leur excellence.
La fleur de l'été est à l'été douce,
Bien qu'en lui-même il ne vive et ne meure,
Mais si cette fleur avec une infection de base se rencontre,
La plus vile des mauvaises herbes dépasse sa dignité:
Car les choses les plus douces deviennent plus aigres par leurs actes;
Les lis qui s'infectent sentent bien pire que les mauvaises herbes. "
[W. Shakespeare, Sonnet 94]