Carouselambra - Led Zeppelin

Sisters of the way-side bide their time in quiet peace,

Await their place within the ring of calm;

Still stand to turn in seconds of release,

Await the call they know may never come.

In times of lightness, no intruder dared upon

To jeopardize the course, upset the run;

And all was joy and hands were raised toward the sun

As love in the halls of plenty overrun.

Aaah, ahhh...

Still in their bliss unchallenged mighty feast,

Unending dances shadowed on the day.

Within their walls, their daunting formless keep,

Preserved their joy and kept their doubts at bay.

Faceless legions stood in readiness to weep,

Just turn a coin, bring order to the fray;

And everything is soon no sooner thought than deed,

But no one seemed to question in anyway.

Aaah, ahhh...

How keen the storied hunter's eye prevails upon the land

To seek the unsuspecting and the weak;

And powerless the fabled sat, too smug to lift a hand

Toward the foe that threatened from the deep.

Who cares to dry the cheeks of those who saddened stand

Adrift upon a sea of futile speech?

And to fall to fate and make the status plan

But no one there had heaven within their reach.

Singin'....

Where was your word, where did you go?

Where was your helping, where was your bow? Bow.

Dull is the armour, cold is the day.

Hard was the journey, dark was the way. Way.

I heard the word; I couldn't stay. Oh.

I couldn't stand it another day, another day-ay,

Another day, another day.

Touched by the timely coming,

Roused from the keeper's sleep,

Release the grip, throw down the key.

Held now within the knowing,

Rest now within the peace.

Take of the fruit, but guard the seed.

They had to stay!

Held now within the knowing,

Rest now within the beat.

Take of the fruit, but guard the seed...

Les soeurs de la route attendent leur temps dans une paix tranquille,

Attendez leur place dans le cercle du calme;

Restez debout pour tourner dans les secondes de sortie,

Attendez l'appel qu'ils savent ne viendra jamais.

En période de légèreté, aucun intrus n'a osé \u003cbr />
Pour compromettre le parcours, bouleverser la course;

Et tout était joie et les mains levées vers le soleil

Comme l'amour dans les salles de l'abondance débordé.

Aaah, ahhh ...

Toujours dans leur bonheur, une fête puissante et incontestée,

Danses sans fin à l'ombre du jour.

Dans leurs murs, leur imposant donjon sans forme,

Préservé leur joie et gardé leurs doutes à distance.

Des légions sans visage étaient prêtes à pleurer,

Il suffit de tourner une pièce, de mettre de l'ordre dans la mêlée;

Et tout n'est bientôt plus tôt pensé que l'acte,

Mais personne ne semblait remettre en question de toute façon.

Aaah, ahhh ...

A quel point l'?il du chasseur légendaire règne sur la terre

Chercher les sans méfiance et les faibles;

Et impuissant, le légendaire était assis, trop suffisant pour lever la main

Vers l'ennemi qui menaçait des profondeurs.

Qui se soucie de sécher les joues de ceux qui sont attristés se tiennent

À la dérive sur une mer de paroles futiles?

Et de tomber dans le destin et de faire le plan de situation

Mais personne là-bas n'avait le paradis à leur portée.

Singin '....

Où était ta parole, où es-tu allé?

Où as-tu aidé, où était ton arc? Noeud.

L'armure est terne, la journée froide.

Le voyage a été difficile, le chemin était sombre. Manière.

J'ai entendu le mot; Je ne pouvais pas rester. Oh.

Je ne pouvais pas le supporter un autre jour, un autre jour,

Un autre jour, un autre jour.

Touché par la venue en temps opportun,

Réveillé du sommeil du gardien,

Relâchez la poignée, jetez la clé.

Détenu maintenant dans le savoir,

Reposez-vous maintenant dans la paix.

Prenez le fruit, mais gardez la graine.

Ils devaient rester!

Détenu maintenant dans le savoir,

Reposez-vous maintenant dans le rythme.

Prenez le fruit, mais gardez la graine ...