L'ombre D'une Vie... - L'ombre D'une Vie

Étrange est ce sentiment ressentit

Voici les mots de l'ange, du démon repentit.

Il faut rebondir, il faut se contenir

Une image dans nos cœurs dont il faut se souvenir

Un geste, une lettre, une photo, Un sourire,

Un vent d'amour et de Tristesse qui vient nous recouvrir.

Une étoile dans un ciel.

Cri qui vient à mourir.

Un visage et un cierge en mémoire d'un frère parti...



Une ombre de vie, des pleurs et des souvenirs

Une peine qu'on porte avec une famille

Tes amis sont là et les sourires aussi

Tu resteras à jamais dans nos esprits...

J'ai toujours été là,

Même si tu ne m'écoutais pas.

Je t'aimais comme cela,

Et je partirais fier comme toi...

Je ne t'oublies pas...

Ils ne t'oublieront pas

Cette année déjà, ils ont soufflé les bougies pour

toi...



Une escale dans le temps,

Un come-back dans les airs.

Décollage sous le vent,

Ton sourire à l'arrière...

Rendez-vous avec la mort, t'as sonné à son adresse...

Je garderais ton image propre, même si t'es salit dans la

presse.

Pour vendre leurs vents, ils vont tous nous arnaqué

Moi je sais que c'est Satan, qui se jour t'a braqué.

Arracher à tes parents, un frère de moins au compteur...

Aux yeux des gens t'es le méchant, mais innocent dans nos

cœurs.



Je ne trouve plus les mots,

Pour décrire cette peine en moi.

Dans les journaux, Je trouve trop de mots,

Qu'ils crachent sur toi...

Pourtant t'étais quelqu'un qui pouvait tant nous apporter.

Et cela, tu sais à quel point, on pouvait t'aimer...

Ce vide en nous ne pourra jamais être comblé.

Des cœurs brisés, la peine encré,

J'ai la paix enflammée.

Pourtant, je dois l'enterrer.

Pour éviter que ton image nouvelle

A saler...

Sans toi on vit, un putain de martyr.



On est triste on pense à toi

De la haut tu nous observe...

J'ai vu ta mère, forte,fière

Présente à tes obsèques...

C'est sûre, tu n'étais pas parfais...

Mais putain, t'étais notre frère...

Ici bas, sans toi c'est l'enfer.

Ton départ, on doit s'y faire...

Cette putain de mort à braqué

Ton petit cœur qui valait de l'or...

Haut les mains, tu nous as quitté

Pour un endroit surement meilleur...

Un rassemblement de plus...

Un des nôtres en moins...

Des gars qui partent, on n'en veut plus...

Tenez les petits frères par la main...



Elle est le doux printemps

Qui surgit après l'hiver...

La petite espérance qui chasse les nuages...

Quand tout semble finit...

Il est la lumière...

Qui brille au fond de nos cœurs...

L'ange gardien,

Dans le noir, qui guide nos phases.

Gardez courage...



La mort va si vite

Moins un au compteur

Je penserais à toi, chaque Time

Ton rire était mon coup de cœur.

Tu ne manquais de rien

Maintenant tu nous manque à nous...

Et j'avoue que chaque jours...

Je pense à faire tourner la roue.

T'avais un sourire frère...

Je ne sais pas où tu l'as puisé.

Depuis qu'il a décroché

Le ciel en a le cœur brisé.

On rap ton ombre

Rappel au nom

On se bat, le cœur s'emballe

Voici ton hommage, et pas le morceau de la honte.



Je compte pas les clefs de bras

Quand on parlait mal de ta Mama

Je ne compte même plus tous tes départs

Rester quater chez Dawn

Mais dés que t'avais de la magne impossible

Que tes potes gagnent..

On ne choisit pas l'avenir

Il y a Dieu pour cela

Évitons tout cela, tâchons d'éviter le pire

Tout était écrit, c'est comme cela, avec toi Fla'

La rue se transformait en ring

Du haut de mes 20 piges, je ne rivalisais même pas

Avec ta force de Kong King

Et du haut des escaliers, c'est le vertige

Je vois la rue, qui pleure un bébé King



Aujourd'hui je verse l'encre, comme des litres de larmes

Une erreur de jeunesse, pour des euros ou des dollars

En ce monde de mal-faits, chaque jours font des faits.

Partit sur une défaite, et la Rocheuse est sévère

Une famille courageuse, une Fabienne orageuse.

Sur nos joues, le tonnerre gronde et blesse comme une

tronçonneuse

On n'oublie pas tes amis,

On n'oublie pas ton beau sourire

On n'oublie pas ce bout de vie, qui laisse de bon

souvenir...



Tu n'es plus là, pour te dire ce que je ressens là...

Et sans blagues par moment faut que tu saches que je me sens

mal

Tu n'es peut-être qu'une tête d'argent pour les médias

Mais pour te récupérer, je donnerais plus cher dans

l'immédiat...

Tubize, sans toi, a perdu son sourire.

Des surprises sans fous-rires

Heureusement que pour partir sans souffrir

Il nous enlève le meilleur pour nous laisser le pire...



J'arrive pas à réalisé, que tu es éternellement

endormit...

Encore milles choses à dire...

Crois moi, je t'entends encore rire...

Pour une connerie, sitôt tu nous as quitté...

Au début de la vie, mais trop vite, la mort t'en as

privé...

Les journaux te salissent

Et propre à l'homme de se détruire...

Nous on t'as vu grandir.

On n'est les seuls à pouvoir te décrire...

Dure d'écrire, trop de peine enfuie en nous

En tout cas, Merci pour tout...

Besoin d'une calculette, pour te dire à quel point tu

comptais pour nous..



Elle est le doux printemps

Qui surgit après l'hiver...

La petite espérance qui chasse les nuages...

Quand tout semble finit...

Il est la lumière...

Qui brille au fond de nos cœurs...

L'ange gardien,

Dans le noir, qui guide nos phases.

Gardez courage..