Green, Green Grass Of Home - JOHNNY CASH

The old home town looks the same,

As I step down from the train,

And there to meet me is my mama and my papa.

Down the road I look, and there comes Mary,

Hair of gold and lips like cherries.

It's good to touch the green, green grass of home.



The old house is still standing,

Though the paint is cracked and dry,

And there's the old oak tree that I used to play on.

Down the lane I walk with my sweet Mary,

Hair of gold and lips like cherries.

It's good to touch the green, green grass of home.



Yes, they'll all come to see me,

Arms reaching, smiling sweetly.

It's good to touch the green, green grass of home.



Then I awake and look around me,

At the four gray walls that surround me,

And I realize that I was only dreaming.

For there's a guard, and there's a sad old padre,

Arm in arm, we'll walk at daybreak.

Again, I'll touch the green, green grass of home.



Yes, they'll all come to see me

In the shade of the old oak tree,

As they lay me 'neath the green, green grass of home.

La vieille ville natale a la même apparence,

En descendant du train,

Et là pour me rencontrer, c'est ma maman et mon papa.

En bas de la route, je regarde, et voici Mary,

Cheveux d'or et lèvres comme des cerises.

C'est bon de toucher l'herbe verte et verte de la maison.



La vieille maison est toujours debout,

Bien que la peinture soit fissurée et sèche,

Et il y a le vieux chêne sur lequel je jouais.

Dans la ruelle, je marche avec ma douce Mary,

Cheveux d'or et lèvres comme des cerises.

C'est bon de toucher l'herbe verte et verte de la maison.



Oui, ils viendront tous me voir,

Bras tendus, souriant doucement.

C'est bon de toucher l'herbe verte et verte de la maison.



Puis je me réveille et regarde autour de moi,

Aux quatre murs gris qui m'entourent,

Et je me rends compte que je ne fais que rêver.

Car il y a un garde, et il y a un triste vieux padre,

Bras dessus bras dessous, nous marcherons au lever du jour.

Encore une fois, je toucherai l'herbe verte et verte de la maison.



Oui, ils viendront tous me voir

A l'ombre du vieux chêne,

Alors qu'ils me déposaient sous l'herbe verte et verte de la maison.