Berkeley Woman - JOHN DENVER


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Paroles de JOHN DENVER - Berkeley Woman

(Bowers)

I saw a Berkeley woman sitting in a rocking chair. A dulcimer in her lap, feather in her hair.

Her breasts swayed freely with the rhythm of the rocking chair,

she was a sitting and a singing and a swaying, Her cheeks were red I declare.



'Twas hard to believe what my eyes showed me then,

the color in her cheeks was just her natural skin.

She wore no makeup to make her look that way.

She was a natural mama with the red cheeks, what more can I say?



Well, I finally realized there was hunger in my stare.

In my mind I was swaying with the woman in the rocking chair.

But the lady I was living with was standing right by my side,

she saw my stare and she saw the hunger and Lord, it made her cry.



So with anger on her face, yes and hurt in her eyes,

she scratched me and she clawed me, she screamed and she cried,

"oh, you don't give me near all the loving that you should,

yet you're ready to go and lay with her, well you're just no damn good."



Well, I guess she's probably right, oh, I guess I'm probably wrong.

I guess she's not too far away, she hasn't been gone very long.

And I guess we could get together and try it one more time,

but I know that wanderlust would come again, she'd only wind up a-crying.



Well, now you've heard my story as plain as the light of day.

It's hard to feel guilty for loving the ladies, that's all I gotta say.

Except a woman is the sweetest fruit that God ever put on the vine,

I'd no more love just one kind of woman than drink only one kind of wine.

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Video de JOHN DENVER - Berkeley Woman

Traduction de JOHN DENVER - Berkeley Woman

(Bowers)

J'ai vu une femme de Berkeley assise sur une chaise berçante. Un dulcimer sur ses genoux, une plume dans ses cheveux.

Ses seins se balançaient librement au rythme de la chaise berçante,

elle était assise et chantait et se balançait, Ses joues étaient rouges je déclare.



'Twas difficile de croire ce que mes yeux m'ont montré alors,

la couleur de ses joues n'était que sa peau naturelle.

Elle ne portait pas de maquillage pour lui donner cette apparence.

C'était une maman naturelle avec les joues rouges, que dire de plus?



Eh bien, j'ai finalement réalisé qu'il y avait de la faim dans mon regard.

Dans mon esprit, je me balançais avec la femme dans le fauteuil à bascule.

Mais la femme avec qui je vivais se tenait juste à côté de moi,

elle a vu mon regard et elle a vu la faim et Seigneur, ça l'a fait pleurer.



Donc, avec de la colère sur son visage, oui et des blessures aux yeux,

elle m'a gratté et elle m'a griffé, elle a crié et elle a pleuré,

"oh, tu ne me donnes pas presque tout l'amour que tu devrais,

et pourtant tu es prêt à aller coucher avec elle, et bien tu n'es vraiment pas bon. "



Eh bien, je suppose qu'elle a probablement raison, oh, je suppose que je me trompe probablement.

Je suppose qu'elle n'est pas trop loin, elle n'est pas partie depuis très longtemps.

Et je suppose que nous pourrions nous réunir et essayer une fois de plus,

mais je sais que l'envie de voyager reviendrait, elle ne ferait que pleurer.



Eh bien, maintenant vous avez entendu mon histoire aussi claire que la lumière du jour.

Il est difficile de se sentir coupable d'aimer les dames, c'est tout ce que je dois dire.

Sauf qu'une femme est le fruit le plus doux que Dieu ait jamais mis sur la vigne,

Je n'aimerais pas plus une seule femme que boire une seule sorte de vin.

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