From A Dead Beat To An Old Greaser - Jethro Tull

From a dead beat to an old greaser, here's thinking of you.

You won't remember the long nights;

coffee bars; black tights and white thighs

in shop windows where blonde assistants fully-fashioned a world made

of dummies (with no mummies or daddies to reject them).

When bombs were banned every Sunday and the Shadows played F.B.I.

And tired young sax-players sold their instruments of torture ---

sat in the station sharing wet dreams of Charlie Parker,

Jack Kerouac, Ren'e Magritte, to name a few of the heroes

who were too wise for their own good --- left the young brood to

go on living without them.



Old queers with young faces --- who remember your name,

though you're a dead beat with tired feet;

two ends that don't meet.

To a dead beat from an old greaser.



Think you must have me all wrong.

I didn't care, friend. I wasn't there, friend,

If it's the price of pint that you need, ask me again.

D'un beat mort à un vieux graisseur, voici en pensant à vous.

Vous ne vous souviendrez pas des longues nuits;

cafés; collants noirs et cuisses blanches

dans les vitrines où les assistantes blondes ont entièrement façonné un monde fait

de mannequins (sans momies ni papas pour les rejeter).

Quand les bombes ont été interdites tous les dimanches et que les Shadows ont joué au F.B.I.

Et de jeunes saxophiles fatigués ont vendu leurs instruments de torture ---

assis dans la station partageant des rêves humides de Charlie Parker,

Jack Kerouac, Ren'e Magritte, pour nommer quelques-uns des héros

qui étaient trop sages pour leur bien --- ont laissé la jeune couvée à \u003cbr />
continuer à vivre sans eux.



Vieux queers avec de jeunes visages --- qui se souviennent de votre nom,

bien que tu sois un beat mort avec des pieds fatigués;

deux extrémités qui ne se rencontrent pas.

Au rythme d'un vieux graisseur.



Pensez que vous devez tout me tromper.

Je m'en fichais, mon ami. Je n'étais pas là, ami,

Si c'est le prix de la pinte dont vous avez besoin, demandez-moi à nouveau.