Faith Salons - Jeff Buckley

in the faith salons they do your nails for fifteen dimes a bottle, where

someone in the darkness waits for your arrival.

in the faith salons the deals are struck, making heroes out of dust and clay.

the man gives you sixty seconds on the dollar, and walks away.

in the middle of your book of ages you write your dreams down to the letter.

tired of second chances and singles dances.

her robes were purple velvet feeling like the king of cairo.

prisoners to fools and slaves to paper gods.

in the faith salons....



the books of massacres and natural disasters,

beguiled by belligerence learned from the dancing masters.

the child on the train was a mimic mime of babble.

the mother knitted sweaters that the child would unravel.

in the faith salons....



they have medicines for madness, madness caused by drugs,

something for your headache and a spray to kill the bugs.

you walk the catwalk of polyphony, and your charades of destiny.

to whose myth of creation will you finally fall upon your knees and cry for forgiveness denied.

in the faith salons....



she'd appear like a belligerent ghost in my dreams,

in my living room, all torn apart and blue,

where the ribbons flew and the sky tore like a sheet of rain, of dust.

peace is a distant mirage where the only truth is the path and chance the only landmark in the desert.

sleeping in doorways. underneath the falling frescoes, she'd say, it's your pain. in the faith salons....

dans les salons de la foi, ils font vos ongles pour quinze dimes la bouteille, où \u003cbr />
quelqu'un dans l'obscurité attend votre arrivée.

dans les salons confessionnels, les accords sont conclus, faisant des héros de la poussière et de l'argile.

l'homme vous donne soixante secondes sur le dollar et s'éloigne.

au milieu de votre livre des âges, vous écrivez vos rêves à la lettre.

fatigué de la deuxième chance et des danses en simple.

ses robes étaient en velours violet, comme le roi du Caire.

des prisonniers aux imbéciles et des esclaves aux dieux du papier.

dans les salons confessionnels ....



les livres de massacres et de catastrophes naturelles,

séduit par la belligérance apprise des maîtres danseurs.

l'enfant dans le train était un mime mimique de babillage.

la mère a tricoté des pulls que l'enfant allait démêler.

dans les salons confessionnels ....



ils ont des médicaments contre la folie, la folie causée par la drogue,

quelque chose pour vos maux de tête et un spray pour tuer les insectes.

vous marchez sur le podium de la polyphonie et vos charades du destin.

Au mythe de la création, vous tomberez enfin à genoux et vous crierez le pardon refusé.

dans les salons confessionnels ....



elle apparaîtrait comme un fantôme belligérant dans mes rêves,

dans mon salon, tout déchiré et bleu,

où les rubans volaient et le ciel se déchirait comme un drap de pluie, de poussière.

la paix est un mirage lointain où la seule vérité est le chemin et le hasard le seul point de repère dans le désert.

dormir dans les portes. sous les fresques qui tombaient, disait-elle, c'est ta douleur. dans les salons confessionnels ....