The Killing Fields - Insane Clown Posse

Laying in my bed I think of many horror tales.

Yet I better move my bed is made of nails.

I try to roll off my skin slowly tears away.

My flesh is stuck to the bed as I begin my day.

Walking out the house this morning the sky is red.

The streets are crowded with the bodies of the living dead.

They're tryin' a die they're jumping off a roof tops.

They only scream in pain as their body flops.

I rather stay inside my home and only pray to die.

But my house has been on fire since like '85.

I can only stand a night of the fatal smoke.

But see you never die, you only burn and choke.

And so I leave out the house, and walk the land.

Wild pigs run and feed off the dying men.

And look around you, there's bodies hanging from the trees,

But they're not dying, they're only crying, "Please!"

I hear the thunder in the sky so I run and hide.

The Deli Raymay soon come down, you've got to get inside.

The lunatics see the lightning, they're screaming, "Yes!"

It's raining blood, the streets are a bloody mess.

About once or twice a week, though, with thunderstorms.

That's when giant, heavy, red and black clouds form.

It's raining blood, kidneys, and livers from the sky.

Prepare, cuz when you die, you're coming to the Killing Fields.



(chorus):

(Come, come on down, down.)

"What shall they be? What shall they be? When that fine moment comes."

(Come, come on down, down.)

"When the curtains are drawn, the windows are shut, doors closed, and you've

written

what you've written, you've said it, that's it!" (coming to the killing fields)

(Come, come on down, down.)

"What will they all be? What about it mister, when you've had you're last beer?



(Come, come on down, down.)

You've laughed at you're family and laughed at you're little wife. She begs you

not to go

out to that bar."

(End chorus)



As I feed off a dead pig, I'm thinking back.

To when I had a heartbeat, and how I would act.

I would steal from the poor. I'd laugh at the sick.

But in the killing fields, you'd get your fucking neck ripped!

So as I walk along I meet a lot of strange folks.

Some people with no eyes, and gashed open throats.

And if they notice your eyeballs are working well,

The try ta dig them out your skull, and go for self.

Now in the summertime, it's like a whole other realm.

Water becomes fire, and oceans overwhelm.

To walk outside, the heat will surely cook your brains

Try to run across the street, your hair will burst ta flames.

Victims in a panic run from the heat and light,

Underneath the city, into the sewer pipes.

Until the fire's gone this becomes your new land.

But, there's no food so you feed off the other men.

And now it's been seven months, I'm barely fed.

I chase a baby billy goat with a human's head.

It's steady screamin' "Lemme be, lemme be!"

But while I chase it there's another demon chasin' me.

All of time moves backwards, I'm growing old.

And still the clouds are burning fire, and so I'm told

That there's a lot of living souls such as the rich,

That choose to live like a bitch.

See you in the killing fields!



(chorus):

(Come, come on down, down.)

"Youve had your big time in lust, sin, and filth!"

(Come, come on down, down.)

"What is it going to be when you realize the time is up? You've crossed the

finish line!

Going in the wrong direction." (I'll see you in the killing fields)

(Come, come on down, down.)

"What shall they all be? What about it gentlemen? When you've spent your life

in a few

years' time?"

(Come, come on down, down.)

"Your a burned up shell at 25 years of age. What shall they all be?" What

about it?

(End chorus)



You can go to hell hell hell hell hell

"What shall they all be?"

(repeat 5x)





Come, come on down, down.

Come, come on down, down. (you're coming to the killing fields!) (w/ echo)

Come, come on down, down.

Come, come on down, down.

(repeat w/ fade out

Allongé dans mon lit, je pense à de nombreux contes d'horreur.

Pourtant, je ferais mieux de déplacer mon lit est fait de clous.

J'essaie de retirer ma peau des larmes lentement.

Ma chair est collée au lit alors que je commence ma journée.

En sortant de la maison ce matin, le ciel est rouge.

Les rues sont bondées de cadavres.

Ils essaient un dé qu'ils sautent d'un toit.

Ils ne hurlent que de douleur tandis que leur corps s'effondre.

Je préfère rester à l'intérieur de ma maison et ne prier que de mourir.

Mais ma maison est en feu depuis environ 1985.

Je ne peux supporter qu'une nuit de la fumée fatale.

Mais voyez-vous, vous ne mourrez jamais, vous ne faites que brûler et vous étouffer.

Et donc je laisse de côté la maison et je marche sur la terre.

Des cochons sauvages courent et se nourrissent des mourants.

Et regardez autour de vous, il y a des corps suspendus aux arbres,

Mais ils ne meurent pas, ils ne font que pleurer, "S'il vous plaît!"

J'entends le tonnerre dans le ciel alors je cours et me cache.

Le Deli Raymay descend bientôt, vous devez entrer.

Les fous voient la foudre, ils crient, "Oui!"

Il pleut du sang, les rues sont un bordel sanglant.

Environ une ou deux fois par semaine, cependant, avec des orages.

C'est alors que se forment des nuages ​​géants, lourds, rouges et noirs.

Il pleut du sang, des reins et du foie du ciel.

Préparez-vous, car quand vous mourrez, vous arriverez aux champs de la mort.



(refrain):

(Venez, descendez, descendez.)

"Que seront-ils? Que seront-ils? Quand ce beau moment arrivera."

(Venez, descendez, descendez.)

"Lorsque les rideaux sont tirés, les fenêtres sont fermées, les portes fermées, et vous avez

écrit

ce que tu as écrit, tu l'as dit, c'est tout! "(en venant dans les champs de la mort)

(Venez, descendez, descendez.)

"Que seront-ils tous? Qu'en est-il monsieur, quand vous avez pris votre dernière bière?



(Venez, descendez, descendez.)

Vous avez ri de votre famille et ri de votre petite femme. Elle vous supplie

ne pas y aller

à ce bar. "

(Fin du refrain)



Alors que je me nourris d'un cochon mort, je repense.

Quand j'ai eu un battement de coeur et comment j'allais agir.

Je volerais aux pauvres. Je ris des malades.

Mais dans les champs de la mort, vous vous feriez déchirer le cou!

Alors, en marchant, je rencontre beaucoup de gens étranges.

Certaines personnes sans yeux et à gorge ouverte.

Et s'ils remarquent que vos globes oculaires fonctionnent bien,

Essayez de les creuser dans votre crâne et allez-y.

Maintenant, en été, c'est comme un tout autre domaine.

L'eau devient feu et les océans submergent.

Pour marcher dehors, la chaleur va sûrement faire cuire votre cerveau

Essayez de courir à travers la rue, vos cheveux vont exploser en flammes.

Victimes paniquées de la chaleur et de la lumière,

Sous la ville, dans les tuyaux d'égout.

Jusqu'à ce que le feu ait disparu, cela devient votre nouveau pays.

Mais, comme il n'y a pas de nourriture, vous vous nourrissez des autres hommes.

Et maintenant ça fait sept mois, je suis à peine nourri.

Je poursuis un bébé bouc avec une tête humaine.

C'est un cri constant "Lemme be, lemme be!"

Mais pendant que je le poursuis, un autre démon me poursuit.

Tout le temps recule, je vieillis.

Et encore les nuages ​​brûlent du feu, et donc on me dit

Qu'il y a beaucoup d'âmes vivantes telles que les riches,

Qui choisissent de vivre comme une chienne.

Rendez-vous dans les champs de mise à mort!



(refrain):

(Venez, descendez, descendez.)

"Vous avez eu votre grand temps dans la luxure, le péché et la saleté!\"

(Venez, descendez, descendez.)

"Qu'est-ce que ça va être quand vous réaliserez que le temps est écoulé? Vous avez traversé le

ligne d'arrivée!

Aller dans la mauvaise direction. "(Je vous verrai dans les champs de mise à mort)

(Venez, descendez, descendez.)

"Que seront-ils tous? Qu'en est-il messieurs? Quand vous aurez passé votre vie

dans quelques

ans? "

(Venez, descendez, descendez.)

"Vous avez un obus brûlé à 25 ans. Que seront-ils tous?" Quoi

à propos de ça?

(Fin du refrain)



Vous pouvez aller en enfer enfer enfer enfer enfer

"Que seront-ils tous?"

(répétez 5 fois)





Venez, descendez, descendez.

Venez, descendez, descendez. (vous venez dans les champs de mise à mort!) (avec écho)

Venez, descendez, descendez.

Venez, descendez, descendez.

(répéter avec fade out