A Month Of Sundays - Henley Don

I used to work for Harvester

I used to use my hands

I used to make the tractors and the combines that plowed and harvested

this great land

Now I see my handiwork on the block everywhere I turn

And I see the clouds 'cross the weathered faces and I watch the harvest burn



I quit the plant in '57

Had some time for farmin' then

Banks back then was lendin' money

The banker was the farmer's friend

And I've seen dog days and dusty days;

Late spring snow and early fall sleet;

I've held the leather reins in my hands and felt the soft ground under my feet

Between the hot dry weather and the taxes, and the Cold War it's been hard

to make ends meet

But I always kept the clothes on our backs;

I always put the shoes on our feet



My grandson, he comes home from college

He says, "We get the government we deserve."

My son-in-law just shakes his head and says, "That little punk, he never

had to serve."

And I sit here in the shadow of the suburbs and look out across these

empty fields

I sit here in earshot of the bypass and all night I listen to the rushin'

of the wheels



The big boys, they all got computers; got incorporated, too

Me, I just know how to raise things

That was all I ever knew

Now, it all comes down to numbers

Now I'm glad that I have quit

Folks these days just don't do nothin' simply for the love of it



I went into town on the Fourth of July

Watched 'em parade past the Union Jack

Watched 'em break out the brass and beat on the drum

One step forward and two steps back

And I saw a sign on Easy Street, said, "Be Prepared to Stop."

Pray for the independent, little man

I don't see next year's crop

And I sit here on the back porch in the twilight

And I hear the crickets hum

I sit and watch the lightning in the distance but the showers never come

I sit here and listen to the wind blow

I sit here and rub my hands

I sit here and listen to the clock strike, and I wonder when I'll see my

companion again

J'ai travaillé pour Harvester

J'utilisais mes mains

Je fabriquais les tracteurs et les moissonneuses-batteuses qui labouraient et récoltaient

cette grande terre

Maintenant, je vois mon travail sur le bloc partout où je me tourne

Et je vois les nuages ​​traverser les visages altérés et je regarde la récolte brûler



J'ai quitté l'usine en '57

Avait un peu de temps pour farmin 'puis

À l'époque, les banques prêtaient de l'argent

Le banquier était l'ami du fermier

Et j'ai vu des jours de chien et des jours poussiéreux;

Neige tardive au printemps et grésil au début de l'automne;

J'ai tenu les rênes en cuir dans mes mains et j'ai senti le sol mou sous mes pieds

Entre le temps chaud et sec et les taxes, et la guerre froide, ça a été dur

joindre les deux bouts

Mais j'ai toujours gardé les vêtements sur le dos;

Je mets toujours les chaussures sur nos pieds



Mon petit-fils, il rentre du collège

Il dit: "Nous obtenons le gouvernement que nous méritons."

Mon gendre secoue simplement la tête et dit: "Ce petit punk, il n'a jamais

devait servir. "

Et je suis assis ici à l'ombre des banlieues et regarde à travers ces

champs vides

Je m'assois ici à portée de voix du contournement et toute la nuit j'écoute le rushin '

des roues



Les grands garçons, ils ont tous des ordinateurs; a également été incorporé \u003cbr />
Moi, je sais juste comment élever les choses

C'est tout ce que j'ai jamais connu

Maintenant, tout se résume à des chiffres

Maintenant je suis content d'avoir arrêté

Les gens de nos jours ne font rien simplement par amour



Je suis allé en ville le 4 juillet

Je les ai vus défiler devant l'Union Jack

Je les ai regardés casser les cuivres et battre sur le tambour

Un pas en avant et deux pas en arrière

Et j'ai vu un panneau sur Easy Street, disant: "Soyez prêt à arrêter."

Priez pour le petit homme indépendant

Je ne vois pas la récolte de l'année prochaine

Et je suis assis ici sur le porche arrière au crépuscule

Et j'entends les grillons fredonner

Je m'assois et regarde la foudre au loin mais les averses ne viennent jamais

Je m'assois ici et j'écoute le vent souffle

Je m'assois ici et je me frotte les mains

Je m'assois ici et j'écoute la sonnerie de l'horloge, et je me demande quand je verrai mon

compagnon à nouveau