Weather Report Suite Ii - Grateful Dead

Weather Report Suite (Part II)

------------------------------



Morning comes, she follows the path to the river shore,

Lightly sung, her song is the latch on the morning's door.

See the sun sparkle in the reeds,

Silver beads, pass into the sea.



She comes from a town where they call her the woodcutter's daughter,

She's brown as the bank where she kneals down to gather her water, and

She bears it away with a love that the river has taught her.



Let it flow,

greatly grow,

wide and clear.



Round and round, the cut of the plough in the furrowed field,

Seasons round, the bushels of corn and the barley meal,

Broken ground, open and beckoning to the spring,

Black dirt live again!

The plowman is broad as the back of the land he is sowing,

As he dances the circular track of the plough ever knowing

that the work of his days measures more than the planting and growing



Let it grow,

Let it grow,

Greatly yield.



What shall we say, shall we call it by a name?

As well to count the angels dancing on a pin.

Water bright as the sky from which it came,

And the name is on the earth that takes it in.

We will not speak but stand inside the rain,

And listen to the thunder shouting "I am!"

"I am! I am! I am."



So it goes, we make what we made since the world began.

Nothing more, love of the women, work of man.

Seasons round, creatures great and small, up and down

as we rise and fall.



What shall we say, shall we call it by a name?

As well to count the angels dancing on a pin.

Water bright as the sky from which it came,

and the name is on the earth that takes it in.

We will not speak but stand inside the rain,

And listen to the thunder shouting "I am!"

"I am! I am! I am

Suite de rapports météorologiques (partie II)

------------------------------



Le matin arrive, elle suit le chemin de la rivière,

Légèrement chantée, sa chanson est le verrou de la porte du matin.

Voir le soleil briller dans les roseaux,

Perles en argent, passent dans la mer.



Elle vient d'une ville où on l'appelle la fille du bûcheron,

Elle est brune comme la rive où elle se renverse pour recueillir son eau, et

Elle l'emporte avec un amour que la rivière lui a appris.



Laissez couler,

grandir considérablement,

large et clair.



Rond et rond, la coupe de la charrue dans le champ sillonné,

Au fil des saisons, les boisseaux de maïs et la farine d'orge,

Sol cassé, ouvert et faisant signe au printemps,

La saleté noire revit!

Le laboureur est large comme l'arrière de la terre qu'il sème,

Alors qu'il danse la piste circulaire de la charrue sachant toujours

que le travail de ses jours mesure plus que la plantation et la croissance



Laissez-le grandir,

Laissez-le grandir,

Rend très bien.



Que dirons-nous, l'appellerons-nous par un nom?

Aussi bien pour compter les anges dansant sur une épingle.

Une eau brillante comme le ciel dont elle est issue,

Et le nom est sur la terre qui le prend.

Nous ne parlerons pas mais resterons sous la pluie,

Et écoutez le tonnerre crier "Je suis!"

"Je le suis! Je le suis! Je le suis."



Donc ça va, nous faisons ce que nous avons fait depuis le début du monde.

Rien de plus, amour des femmes, travail de l'homme.

Saisons rondes, créatures grandes et petites, de haut en bas

à mesure que nous montons et tombons.



Que dirons-nous, l'appellerons-nous par un nom?

Aussi bien pour compter les anges dansant sur une épingle.

Une eau brillante comme le ciel dont elle est issue,

et le nom est sur la terre qui l'accepte.

Nous ne parlerons pas mais resterons sous la pluie,

Et écoutez le tonnerre crier "Je suis!"

"Je le suis! Je le suis! Je le suis