Carpet Crawlers - Genesis

He returns from his mixed-up memories to the passage he was previously

stuck in. This time he discovers a long carpeted corridor.



There is lambswool under my naked feet.

The wool is soft and warm,

- gives off some kind of heat.

A salamander scurries into flame to be destroyed.

Imaginary creatures are trapped in birth on celluloid.

The fleas cling to the golden fleece,

Hoping they'll find peace.

Each thought and gesture are caught in celluloid.

There's no hiding in my memory.

There's no room to avoid.





The walls are painted in red ochre and are marked by strange insignia,

some looking like a bulls-eye, others of birds and boats. Further down

the corridor, he can see some people; all kneeling. With broken sighs

and murmurs they struggle, in their slow motion to move towards a

wooden door at the end. Having seen only the inanimate bodies in the

Grand Parade of Lifeless Packaging, Rael rushes to talk to them.





The crawlers cover the floor in the red ochre corridor.

For my second sight of people, they've more lifeblood than before.

They're moving in time to a heavy wooden door,

Where the needle's eye is winking, closing in on the poor.

The carpet crawlers heed their callers:

"We've got to get in to get out

We've got to get in to get out

We've got to get in to get out."





"What's going on?" he cries to a muttering monk, who conceals a yawn and

replies "It's a long time yet before the dawn." A sphinx-like crawler

calls his name saying "Don't ask him, the monk is drunk. Each one of us

is trying to reach the top of the stairs, a way out will await us there."

Not asking how he can move freely, our hero goes boldly through the door.

Behind a table loaded with foo

Il revient de ses souvenirs mélangés au passage qu'il était auparavant

coincé. Cette fois, il découvre un long couloir recouvert de moquette.



Il y a de la laine d'agneau sous mes pieds nus.

La laine est douce et chaude,

- dégage une sorte de chaleur.

Une salamandre se précipite dans la flamme pour être détruite.

Les créatures imaginaires sont piégées dans la naissance sur du celluloïde.

Les puces s'accrochent à la toison dorée,

En espérant qu'ils trouveront la paix.

Chaque pensée et chaque geste sont pris dans du celluloïd.

Il n'y a pas de cachette dans ma mémoire.

Il n'y a pas de place à éviter.





Les murs sont peints en ocre rouge et sont marqués par d'étranges insignes,

certains ressemblant à un ?il de boeuf, d'autres d'oiseaux et de bateaux. Plus bas

le couloir, il peut voir des gens; tous à genoux. Avec des soupirs brisés

et murmure qu'ils luttent, dans leur lent mouvement pour aller vers un

porte en bois à la fin. N'ayant vu que les corps inanimés dans le

Grand défilé de l'emballage sans vie, Rael se précipite pour leur parler.





Les chenilles couvrent le sol dans le couloir ocre rouge.

Pour ma deuxième vue des gens, ils ont plus de force vitale qu'auparavant.

Ils se déplacent à temps vers une lourde porte en bois,

Là où l'?il de l'aiguille clignote, se rapprochant des pauvres.

Les rampants de tapis tiennent compte de leurs appelants:

"Nous devons entrer pour sortir

Nous devons entrer pour sortir

Nous devons entrer pour sortir. "





"Que se passe-t-il?" il crie à un moine marmonnant, qui cache un bâillement et

répond "Il reste encore longtemps avant l'aube." Un robot semblable à un sphinx

appelle son nom en disant "Ne lui demandez pas, le moine est ivre. Chacun de nous

essaie d'atteindre le haut de l'escalier, une issue nous y attendra. "

Ne demandant pas comment il peut se déplacer librement, notre héros franchit hardiment la porte.

Derrière une table chargée de foo