Contre-jour - Francoise Hardy


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Paroles de Francoise Hardy - Contre-jour


Le soleil en contre-jour
Ça et là quelques contours
Quelques ombres floues, noir et or

L'odeur sucrée des glycines
La douceur que l'on devine
Menaçante comme l'eau qui dort

Il lui disait dans un souffle
Qu'il voulait ce qu'elle voulait
Elle le voulait plus près d'elle

Il lui disait dans un souffle
Gentiment, comme à regret
Qu'il ne fallait pas qu'elle l'aime

Un murmure, à peine un souffle
Pour éteindre le feu qui naît
Ou pour incendier les veines

Dans la bouche un goût de cendre
Combien d'années à attendre
Que les souvenirs s'évaporent ?

Combien d'années de mort lente ?
Pour qui remonter la pente ?
Esclave en son âme, en son corps

Il lui disait dans un souffle
De ne pas l'abandonner
De le garder sous son aile

Elle répondait dans un souffle
Les toujours et les jamais
De la passion qui déferle

Quelquefois les hommes qui souffrent
Préfèrent les lieux tempérés
Les tons gris ou bleu pastel

Comme ces fleurs bardées d'épines
Sa douceur est assassine
Éloignez de vous l'eau qui dort

Quand arrive la fin du jour
Regrette-t-il les amours
Aux couleurs de feu, noir et or ?

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