Burned Device - Flotsam And Jetsam

Down in the deep, black hole of my heart

I feel the pain inside of the dreams that died

And I saw a dark message clawed on a wall today, it said

Forever burn this world, it's far too late



Now I stare out my window, I see the towers rise

Toxins seep into my backyard before my very eyes

Industrial revolution, no other solution

For the junk cultured junkies needs

So take a deep breath because it ain't over yet

The machine it's got to bring you down to your knees



Outside the gates of redemption inside my happy home

Contact with big Mr. mega bucks on my cellular phone

Dollar for dollar the business hounds holler

Sour mouthed stomachs well fed

And I'm moving the game yet I still complain

The paranoia, it swells inside my head



How will I ever know which way the wind blows

Will there be no place to hide when the storm comes down

To tear off my hide, defenceless, rich or poor

When the wolves start gathering round my door

Self-destructed, I never anticipated

Such pain from the things that I've created



Burn, burn, burn, burn, the device and the ice that's in my heart

Burn down the lies and the hatred in my eyes

Let it burn, burn to see the world turn

And it's all there in front of me

And I feel compelled to make you see... reality

This is the turning point, these are the cross-roads

Detonated lunacy and it's not a dream, it's not a dream



No greener sky, no blacker sea, no greater war inside of me



Now I stare out my window, the patients on the lawn

Loved ones visiting hours wonder what went wrong, wrong, wrong

Outside the gates of redemption, my mind is never alone

Hospitalised, lobotomised, big machine, please come take me home



How will I ever know which way the wind blows

Will there be no place to hide when the storm comes down

To tear off my hide, defenceless, rich or poor

When the wolves start gathering round my door

Self-destructed, I never anticipated

Such pain from the things that I've created



Burn, burn, burn, burn, the device and the ice that's in my heart

Burn down the lies and the hatred in my eyes

Let it burn, burn to see the world turn

And it's all there in front of me

And I feel compelled to make you see...



This is reality





"Burn, burn, burn... this heavy metal funky kinda

tune is the burning in our minds as we watch the

world crumble into industrialism." Erik A.K

Au fond du trou noir et profond de mon c?ur

Je ressens la douleur à l'intérieur des rêves qui sont morts

Et j'ai vu un message sombre griffé sur un mur aujourd'hui, il disait:

Pour toujours brûler ce monde, il est beaucoup trop tard



Maintenant je regarde par ma fenêtre, je vois les tours s'élever

Les toxines s'infiltrent dans mon jardin sous mes yeux

Révolution industrielle, pas d'autre solution

Pour les junkies cultivés de la jonque a besoin

Alors prenez une profonde respiration car ce n'est pas encore fini

La machine qu'il faut pour vous mettre à genoux



À l'extérieur des portes de la rédemption à l'intérieur de ma maison heureuse

Contact avec de gros méga dollars sur mon téléphone portable

Dollar pour dollar, l'entreprise hurle

Des estomacs aigres et bien nourris

Et je déplace le jeu mais je me plains encore

La paranoïa, ça gonfle dans ma tête



Comment saurai-je dans quel sens le vent souffle

N'y aura-t-il pas d'endroit où se cacher quand la tempête tombera

Pour arracher ma peau, sans défense, riche ou pauvre

Quand les loups commencent à se rassembler autour de ma porte

Autodestruction, je n'ai jamais anticipé \u003cbr />
Une telle douleur des choses que j'ai créées



Brûle, brûle, brûle, brûle, l'appareil et la glace qui est dans mon c?ur

Brûle les mensonges et la haine dans mes yeux

Laissez-le brûler, brûler pour voir le monde tourner

Et tout est là devant moi

Et je me sens obligé de vous faire voir ... la réalité \u003cbr />
C'est le tournant, ce sont les carrefours

Folie détonée et ce n'est pas un rêve, ce n'est pas un rêve



Pas de ciel plus vert, pas de mer plus noire, pas de plus grande guerre en moi



Maintenant je regarde par ma fenêtre, les patients sur la pelouse

Les personnes aimées visitant les heures se demandent ce qui s'est passé, mal, mal

En dehors des portes de la rédemption, mon esprit n'est jamais seul

Hospitalisé, lobotomisé, grosse machine, venez me ramener à la maison



Comment saurai-je dans quel sens le vent souffle

N'y aura-t-il pas d'endroit où se cacher quand la tempête tombera

Pour arracher ma peau, sans défense, riche ou pauvre

Quand les loups commencent à se rassembler autour de ma porte

Autodestruction, je n'ai jamais anticipé \u003cbr />
Une telle douleur des choses que j'ai créées



Brûle, brûle, brûle, brûle, l'appareil et la glace qui est dans mon c?ur

Brûle les mensonges et la haine dans mes yeux

Laissez-le brûler, brûler pour voir le monde tourner

Et tout est là devant moi

Et je me sens obligé de vous faire voir ...



C'est la réalité \u003cbr />




"Brûle, brûle, brûle ... ce funky heavy metal un peu

l'air est la brûlure dans nos esprits alors que nous regardons le

monde s'effondre en industrialisme. "Erik A.K