Sleep Of The Just - Fatima Mansions

Lift up your head, lift up your head

Your room in this decade of eathquake and bile

Awaits you like a stewardess's mortuary smile



You'll miss all the fun, you'll miss all the fun

A rich man turned pauper, his death marked [a sham]

I can't get back to see it, 'til you lift up your head



Me and mine are fools, me and mine are fools

Say our elders who despise us, though we're no longer young

They're tired of our sneering, and we've blocked out their main street's sun



They're sleeping as we rise, one punch is drunk with pride

Resides in [brutal face], sick from petrol smoke and [steak]

The few bohemians, with their too-white shopping wrists







Confide in some crimson [page]

And pray to look cute in their squalor-dyed hair

Old age



Rolled out of here, is sun bright and clear

And we hold the fortune, in our cumulous

There's nothing else on earth that i will be part of

Why waste a lifetime on soil which won't bear fruit?

And why argue with gangsters who only smile and act mute?

If he pulls that trigger, as he says he must,

Then to them, goes the last word [and then]

The sleep of the just, the sleep of the just, the sleep of the just



But that's never enough

But that's never, never enough

Relevez la tête, relevez la tête

Votre chambre dans cette décennie de tremblements de terre et de bile

Vous attend comme le sourire mortuaire d'une hôtesse



Vous allez manquer tout le plaisir, vous allez manquer tout le plaisir

Un homme riche est devenu pauvre, sa mort a marqué [une imposture]

Je ne peux pas revenir le voir, jusqu'à ce que tu lèves la tête



Moi et le mien sont des fous, moi et le mien sont des fous

Dites nos aînés qui nous méprisent, bien que nous ne soyons plus jeunes

Ils sont fatigués de nos ricanements, et nous avons bloqué le soleil de leur rue principale



Ils dorment alors que nous nous levons, un coup de poing est bu avec fierté \u003cbr />
Réside dans [visage brutal], malade de la fumée d'essence et du [steak]

Les quelques bohèmes, avec leurs poignets de shopping trop blancs







Confiez-vous à un peu de pourpre [page]

Et priez pour avoir l'air mignonne dans leurs cheveux teints en misère

Vieillesse



Déroulé d'ici, le soleil est clair et clair

Et nous détenons la fortune, dans notre cumul

Il n'y a rien d'autre sur terre dont je ferai partie

Pourquoi perdre sa vie sur un sol qui ne porte pas ses fruits?

Et pourquoi discuter avec des gangsters qui ne font que sourire et se taire?

S'il appuie sur cette gâchette, comme il le dit,

Puis à eux, va le dernier mot [et puis]

Le sommeil du juste, le sommeil du juste, le sommeil du juste



Mais ce n'est jamais suffisant

Mais ce n'est jamais, jamais assez