Heathen Foray - Falkenbach

...In ancient times once rode across the land
A man unknown on a horse of untold grand,
Adorned his cape by thirty runes of gold
Of whom the tales since ages unknown told...

...The man arrived at the shore of sea
And gazed onto the nightly sky,
His ears could hear and his eyes could see
Two ravens dark as night passing by...

...In a distance far the thunder sounds
And lightnings reached the frozen grounds,
His breath ran fast, his heart pounded strong
As the day now came, awaited oh so long...

...Tears will fall and blood will soon be shed
When the dawn heralds the twilight of the day...
Then into battle they will ride with their swords in hand
For a heathenish foray...

...Countless miles he rode through ice and knee-deep snow
Over mountains 'till the landscape changed its face
So he at last arrived where winds blew strong and chill
Like a welcome to all those who trod this place...

...He in cape was wrapped, and with his hammer 'round his neck
He forced his way though he didn't saw the path,
But he did not rest, 'till he had crossed this land of chill
And the storm had calmed, when he stood alone on hill...

...His eyes could see the forrest shining bright
And it's trees reflected solens golden light,
The sound of horns then reached his ears
To welcome him and take away his fears...

...From all their lands the kings, they came
With their retinue of countless men,
And the maiden in full armour sat on their horses,
Winged, until the right began...

So he rested a while an recovered from his ride,
The horizon gleamed by the mighty northers light,
And the elder ones sang tales about the past,
Of their ancestors pride, that will forever last...

...As the darkness fell and gone was solens light
The silence ruled amongst the men of heathenpride,
Who gatheren in a mighty battle-line
And awaited their Gods to give the final sign...

... Dans les temps anciens, une fois traversé le pays
Un homme inconnu sur un cheval de grand inconnu,
Orné sa cape de trente runes d'or
Dont les contes depuis des âges inconnus racontaient ...

... L'homme est arrivé au bord de la mer
Et regardé le ciel nocturne,
Ses oreilles pouvaient entendre et ses yeux pouvaient voir
Deux corbeaux sombres comme la nuit qui passe ...

... Au loin, le tonnerre retentit
Et des éclairs ont atteint le sol gelé,
Son souffle a couru rapidement, son c?ur a battu fort
Alors que le jour arrivait, attendu si longtemps ...

... Les larmes couleront et le sang coulera bientôt
Quand l'aube annonce le crépuscule du jour ...
Puis au combat, ils chevaucheront avec leurs épées à la main
Pour une incursion païenne ...

... D'innombrables kilomètres parcourus par la glace et la neige jusqu'aux genoux
Au-dessus des montagnes jusqu'à ce que le paysage change de visage
Alors il est enfin arrivé où les vents ont soufflé fort et froid
Comme un accueil à tous ceux qui ont foulé cet endroit ...

... Il en cape était enveloppé, et avec son marteau autour du cou
Il a forcé son chemin sans avoir vu le chemin,
Mais il ne s'est pas reposé jusqu'à ce qu'il ait traversé cette terre de froid
Et la tempête s'était calmée, quand il était seul sur la colline ...

... Ses yeux pouvaient voir la forêt brillante
Et ce sont des arbres reflétant la lumière dorée de Solens
Le son des cornes atteignit alors ses oreilles
Pour l'accueillir et lui enlever ses peurs ...

... De toutes leurs terres les rois, ils sont venus
Avec leur suite d'innombrables hommes,
Et la jeune fille en armure complète était assise sur leurs chevaux,
Ailé, jusqu'à ce que la droite commence ...

Alors il s'est reposé un moment et a récupéré de sa balade,
L'horizon brillait de la puissante lumière du nord,
Et les aînés ont chanté des histoires sur le passé,
De la fierté de leurs ancêtres, cela durera toujours ...

... Alors que l'obscurité tombait et disparaissait, la lumière du solens
Le silence régnait parmi les hommes païens,
Qui se rassemble sur une puissante ligne de bataille
Et attendaient leurs Dieux pour donner le signe final ...