Smell My Beard - Frank Zappa

Frank Zappa (lead guitar, vocals)

Napoleon Murphy Brock (saxophone, vocals)

George Duke (keyboards)

Ruth Underwood (percussion)

Tom Fowler (bass)

Chester Thompson (drums)



FZ:

Now the sound that you hear in the background right now, is the sound caused by George Duke, agitating two metal insignias. These are badges that he removed from a coupla boogers that Marty tried to palm off on him in the last town that we was in. Actually theyre booger pasties and he's hitting the booger pasty with a little stick to get a very interesting musical effect, you know he does this every night. And sometimes he becomes so overwrought, so excited by the fact that he's actually touching a piece of metal that might have at one time come in contact with the actual flesh of a booger bear. And so sometimes he misses it.



George:

Oh, Lord have mercy . . .



FZ:

And he hits his thumb and he hurts hisself. Yes it hurts very much, but he likes pain. We can tell that he likes pain because he's in this group.



George:

But, but, its very close to other things . . .



FZ:

Yes but later that night after George was finished fondling the booger pasty, a thought came to his mind, how, how can I possibly get any nook tonight in (pasege ?) if I don't put this thing down and play the piano and get funky for these people. And so George, as you say in your language, took it away . . .



George:

But before we get funky, the continuing stories of . . .



Napoleon:

Moontrick . . .



George:

No, this aint moontrick this time, we go to moontrick next show. This is the continuing stories of the boogers of Marty Perellis. Do you all know who he is? There he is. Hes got a white shirt on an a . . .



FZ:

Your two-hunderd and fifty closest relatives, the Moth

Frank Zappa (guitare solo, chant)

Napoleon Murphy Brock (saxophone, chant)

George Duke (claviers)

Ruth Underwood (percussions)

Tom Fowler (basse)

Chester Thompson (batterie)



FZ:

Maintenant, le son que vous entendez en arrière-plan en ce moment, est le son causé par George Duke, agitant deux insignes métalliques. Ce sont des badges qu'il a enlevés d'un boogers coupla que Marty a essayé de lui attribuer dans la dernière ville où nous étions. En fait, ce sont des boogers pasties et il frappe le booger pâteux avec un petit bâton pour obtenir un effet musical très intéressant, vous sache qu'il fait ça tous les soirs. Et parfois, il devient tellement surmené, tellement excité par le fait qu'il touche en fait un morceau de métal qui aurait pu à un moment être entré en contact avec la chair réelle d'un ours crocodile. Et donc parfois il le manque.



George:

Oh, Seigneur, ayez pitié. . .



FZ:

Et il frappe son pouce et il se fait mal. Oui, ça fait très mal, mais il aime la douleur. On peut dire qu'il aime la douleur parce qu'il fait partie de ce groupe.



George:

Mais, mais, c'est très proche d'autres choses. . .



FZ:

Oui, mais plus tard cette nuit-là, après que George eut fini de caresser le booger pâteux, une pensée lui vint à l'esprit, comment, comment puis-je éventuellement avoir un coin ce soir dans (pasege?) Si je ne pose pas ce truc et joue du piano et devenir génial pour ces gens. Et donc George, comme vous le dites dans votre langue, l'a emporté. . .



George:

Mais avant de devenir funky, les histoires continues de. . .



Napoléon:

Moontrick. . .



George:

Non, ce n'est pas moontrick cette fois, nous allons au prochain spectacle moontrick. Ce sont les histoires continues des boogers de Marty Perellis. Savez-vous tous qui il est? Le voilà. Il a une chemise blanche sur un a. . .



FZ:

Vos deux cent cinquante parents les plus proches, le papillon