In My Human Slaughterhouse - Exhumed

By night I return to the storage shed, Anxious to catch a glimpse of the dead,

Nervously, I unbolt the door, Making my way into this abatoir... Hot air

rushes out the aperture, A putrid gust of flattus and methane, Inhaling the

rotting fumes as I choke, Hit by a wave of nausea I try to restrain... At last

I regard the bloated stiffs, Terribly dislimbed and deceased, My plumpened

prizes now swollen by putrefaction, A makeshift mortuary for the obese...

Their corpulence exceeded solely, By the foulness of their smell, Their girth

only expanded upon in death, The fleshy carcasses bloat and swell...

Postmortem hypertrophy plagues the hefty cadavers, Their portly bodies now

thoroughly dead, The incessant buzzing of insects as necrovores slaver, Fills

the tepid chamber whose walls I've stained red... I hacked through their

layers of blubbering fat, Some were gutted, some punctured, some razed, When I

finished I found them decidedly flat, If not yet dead, then at least bleeding

and dazed... In this dingy shack I had left them to rot, And then departed the

undignified scene, The makeshift crypt they inhabit now fetid and hot, The

curdling innards turned a sickly shade of green

La nuit, je retourne dans le hangar de stockage, désireux d'avoir un aperçu des morts,

Nerveusement, je déverrouille la porte, Me dirigeant vers cet abatoir ... Air chaud

précipite l'ouverture, Une rafale putride de flattus et de méthane, Inhaler le

des fumées pourries comme je m'étouffe, frappée par une vague de nausée j'essaye de retenir ... Enfin

Je regarde les ballons gonflés, Terriblement ébouriffés et décédés, Mon repulpé \u003cbr />
prix gonflés de putréfaction, Une morgue de fortune pour les obèses ...

Leur corpulence dépassait uniquement, Par la souillure de leur odeur, Leur circonférence

seulement élargi dans la mort, Les carcasses charnues gonflent et gonflent ...

L'hypertrophie post-mortem afflige les lourds cadavres, Leurs corps corpulents maintenant

complètement mort, Le bourdonnement incessant des insectes comme esclavage des nécrovores, Remplit

la chambre tiède dont j'ai taché les murs en rouge ... J'ai piraté leur

des couches de graisse grelottante, certaines ont été éviscérées, certaines perforées, d'autres rasées, quand je

fini je les ai trouvés décidément plats, sinon pas encore morts, alors au moins saignant

et hébété ... Dans cette cabane miteuse, je les avais laissés pourrir, Et puis je suis parti le

scène indigne, La crypte de fortune qu'ils habitent maintenant fétide et chaude, La

les entrailles caillantes ont tourné une nuance maladive de vert