Indian Sunset - Elton John

As I awoke the evening with the smell of woodsmoke clinging.

Like a gentle cobweb hanging upon a painted teepee.

Oh I wen to see my chieftain with my war lance and my woman.

For he told us that the yellow moon would very soon me leaving.



This I can't believe I said, I can't believe our Warlord's dead.

Oh, he would not leave the chose ones to the buzzards and the soldiers guns.



Oh, great father of the Iroquois ever since I was young,

I've read the writing of the smoke and breast-fed on the sound of drums.

I've learned to hurl the tomahawk and ride a painted pony wild.

To run the gauntlet of the Sioux, to make a chieftain's daughter mine.



And now you ask that I should watch the red man's race be slowly crushed!

What kind of words are these to hear from Yellow Dog, whom the white man fears?



I take only what is mine Lord, my pony, my squaw, and my child.

I can't stay to see you die along with my tribe's pride.

I got to search for the yellow moon and the Fathers of our sons,

Where the red sun sinks in the hills of gold, and the healing waters run.



Trampling down the prairie rose, leaving hoof tracks in the sand.

Those who wish to follow me, I welcome with my hands.

I heard from passing renegades Geronimo was dead,

He'd been laying down his weapons when they filled him full of lead.



Now there seems no reason why I should carry on,

In this land that once was my land, I can't find a home.

It's lonely and it's quiet and the horse soldiers are coming,

And I think it's time I strung my bow and ceased my senseless running.

For soon I'll find the yellow moon, along with my loved ones.

Where the buffaloes graze in clover fields without the sound of guns.



And the red sun sinks at last into the hills of gold

And peace to this young warrior comes with a bullet hole

Alors que je me réveillais le soir avec une odeur de fumée de bois accrochée.

Comme une douce toile d'araignée accrochée à un tipi peint.

Oh je veux voir mon chef avec ma lance de guerre et ma femme.

Car il nous a dit que la lune jaune me ferait très bientôt partir.



Je ne peux pas croire que j'ai dit, je ne peux pas croire la mort de notre seigneur de guerre.

Oh, il ne laisserait pas les élus aux buses et aux fusils des soldats.



Oh, grand père des Iroquois depuis que je suis jeune,

J'ai lu l'écriture de la fumée et j'allaite au son des tambours.

J'ai appris à lancer le tomahawk et à monter à cheval sur un poney peint.

Pour exécuter le gantelet des Sioux, pour faire de la fille d'un chef le mien.



Et maintenant, vous demandez que je regarde la course de l'homme rouge être lentement écrasée!

Quel genre de mots est-ce à entendre de Yellow Dog, que l'homme blanc craint?



Je prends seulement ce qui est à moi Seigneur, mon poney, ma squaw et mon enfant.

Je ne peux pas rester pour te voir mourir avec la fierté de ma tribu.

Je dois chercher la lune jaune et les pères de nos fils,

Où le soleil rouge coule dans les collines d'or et où les eaux curatives coulent.



Piétiner le long de la prairie rose, laissant des traces de sabots dans le sable.

Ceux qui souhaitent me suivre, je salue de mes mains.

J'ai entendu des renégats de passage que Geronimo était mort,

Il avait déposé ses armes quand ils l'ont rempli de plomb.



Maintenant, il ne semble pas y avoir de raison pour que je continue,

Dans cette terre qui était jadis ma terre, je ne trouve pas de maison.

C'est solitaire et c'est calme et les soldats à cheval arrivent,

Et je pense qu'il est temps que je tende mon arc et cesse ma course insensée.

Pour bientôt, je trouverai la lune jaune, avec mes proches.

Où les buffles paissent dans les champs de trèfle sans le bruit des armes à feu.



Et le soleil rouge s'enfonce enfin dans les collines d'or

Et la paix pour ce jeune guerrier vient avec un trou de balle