Ballad Of A Runaway Horse - Emmylou Harris

(Leonard Cohen)



Say a prayer for the cowgirl her horse ran away

She'll walk 'til she finds him her darlin' her stray

But the river's in flood and the roads are awash

And the bridges break up in the panic of loss



And there's nothin' to follow nowhere to go

He's gone like the summer gone like the snow

And the crickets are breaking her heart with their song

As the day caves in and the night is all wrong



Did she dream it was he who went galloping past

And bent down the fern broke open the grass

And printed the mud with the well-hammered shoe

That she nailed to his speed in the dreams of her youth



And although he goes grazin' a minute away

She tracks him all night she tracks him all day

And she's blind to his presence except to compare

Her injury here with his punishment there



Then at home on a branch on a high stream

A songbird sings out so suddenly

And the sun is warm and the soft winds ride

On a willow tree by the riverside



An the world is sweet and world is wide

And he's there where the light and the darkness divide

And the steam's comin' off him he's huge and he's shy

And he steps on the moon when he paws at the sky



And he comes to her hand but he's nor really tame

He longs to be lost she longs for the same

And he'll bolt and he'll plunge thru the first open pass

To roll and to feed in the sweet mountain grass



Or he'll make a break for the high plateau

Where there's nothing above and noting below

It's time for their burden the whip and the spur

Will she ride with him or will he ride with her



So she binds herself to her galloping steed

And he b

(Leonard Cohen)



Dites une prière pour la cow-girl que son cheval s'est enfuie

Elle marchera jusqu'à ce qu'elle le trouve son chéri

Mais la rivière est en crue et les routes sont inondées

Et les ponts se brisent dans la panique de la perte



Et il n'y a rien à suivre nulle part où aller

Il est parti comme l'été parti comme la neige

Et les grillons lui brisent le c?ur avec leur chanson

Alors que le jour s'effondre et que la nuit va mal



A-t-elle rêvé que c'était lui qui était passé au galop

Et penché la fougère a ouvert l'herbe

Et imprimé la boue avec la chaussure bien martelée

Qu'elle a cloué à sa vitesse dans les rêves de sa jeunesse



Et même s'il va brouter à une minute

Elle le suit toute la nuit, elle le suit toute la journée

Et elle est aveugle à sa présence sauf pour comparer

Sa blessure ici avec sa punition là-bas



Puis à la maison sur une branche sur un ruisseau

Un oiseau chanteur chante si soudainement

Et le soleil est chaud et les vents doux roulent

Sur un saule au bord de la rivière



Un monde est doux et le monde est vaste

Et il est là où la lumière et l'obscurité se divisent

Et la vapeur vient de lui, il est énorme et il est timide

Et il marche sur la lune quand il tape dans le ciel



Et il vient à sa main mais il n'est pas vraiment apprivoisé \u003cbr />
Il aspire à être perdu, elle aspire au même

Et il va boulonner et il plongera à travers la première passe ouverte

Rouler et se nourrir dans l'herbe douce des montagnes



Ou il fera une pause pour le haut plateau

Où il n'y a rien au-dessus et notant en dessous

Il est temps pour leur fardeau le fouet et l'éperon

Va-t-elle monter avec lui ou va-t-elle monter avec elle



Elle se lie donc à son cheval galopant

Et il b