Killed By The Hypnotic Bastard - Deathless


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Paroles de Deathless - Killed By The Hypnotic Bastard

twas like a maelstrom with a notch that nearer every day kept narrowing its boiling wheel until the agony

toyed cooly with the final inch of your delerious hem and you dropped lost when something broke and let

you from a dream as if a goblin with a gauge kept measuring the hours until you felt the seconds weigh

helpless in his paws and not a sinew stirred could help and sense was setting numb when god remembered

and the fiend let go - overcome it was not death for you stood up and all the dead lie down it was not frost

for on your flesh i saw siroccos crawl nor fire for just your marble feet could keep a chancel cool and yet it

tasted like them all as if your sentence stood pronounced and you were frozen led from dungeons luxury

of doubt to gibbets and the dead and when the film had stitched your eyes a creature gasped retrieve which

anguish was the utterest then - to perish or to life for breath is warm and yours was all but

doomed nor dark surrounds for all the bells put out their tongues for noon and yet it tasted like them all the

figures i have seen set orderly for burial reminded me of mine killed by the hypnotic bastard drowned in

his own sleep a god of useless meditation a carcass of the soul of man with fodder from the mouth of ages

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Video de Deathless - Killed By The Hypnotic Bastard

Traduction de Deathless - Killed By The Hypnotic Bastard

c'était comme un maelström avec une encoche qui se rapprochait chaque jour a continué à rétrécir sa roue bouillante jusqu'à l'agonie

joué cooly avec le dernier pouce de votre ourlet délirant et vous êtes tombé perdu quand quelque chose s'est cassé et laissez

vous d'un rêve comme si un gobelin avec une jauge a continué à mesurer les heures jusqu'à ce que vous sentiez les secondes peser

impuissant dans ses pattes et pas un tendon remué pourrait aider et le sens était engourdi quand Dieu se souvenait

et le démon lâche prise - vaincre ce n'était pas la mort car tu t'es levé et tous les morts se couchent ce n'était pas du gel

car sur ta chair j'ai vu des siroccos ramper ni faire feu car tes pieds de marbre pouvaient garder un choeur frais et pourtant il

avait un goût comme eux tous, comme si votre phrase était prononcée et que vous étiez figé dans les donjons de luxe

du doute aux gibets et aux morts et quand le film t'a cousu les yeux une créature haletée récupère qui

l'angoisse était alors la plus profonde - périr ou vivre car le souffle est chaud et le vôtre était tout sauf

entoure condamné ni sombre car toutes les cloches ont éteint leur langue pour midi et pourtant ça avait le même goût que tout le

les chiffres que j'ai vus mis en ordre pour l'enterrement m'ont rappelé le mien tué par le bâtard hypnotique noyé dans

son propre sommeil un dieu de la méditation inutile une carcasse de l'âme de l'homme avec du fourrage de la bouche des siècles

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