Storm - Covenant

in transit you pass among the strangers of the world

paying tribute to the thief who stole away your shadow

you look into the bedrock and listen to the bells

calling liquid lust call for solid white

I see the stalker in your face the secrets in your skin

I keep the wisdom that you need the password that you want

I feel the stalker in your mind the fire in your veins

no hope to be released

I'm a multitude of travels to the other side

through the broken wall I saw your fellow man

to the west of the horizon there is a bitter wind

and if you try to sense the smell of your face

for you found the keyhole but you lost your backbone

no courage left to join the march of endless time

you saw the sleep of habit on those who walk in trance

to their catatonic aimless lives

so let them start the engine grinding mountain dust

and reproduce your ego too much is not enough

you dig holes through the earth to meet the king of worms

to steal away his wisdom and learn to decompose

you chant like fifty indians to charm the prince of eagles

to learn the art of seeing and the tongue of the winds

so don't you try to fool me for I watch your every move

we are kindred spirits like two vices in the wild

en transit vous passez parmi les étrangers du monde

rendre hommage au voleur qui a volé votre ombre

vous regardez dans le substratum rocheux et écoutez les cloches

appeler la luxure liquide pour un blanc solide

Je vois le harceleur sur ton visage les secrets de ta peau

Je garde la sagesse que vous avez besoin du mot de passe que vous voulez

Je sens le harceleur dans ton esprit le feu dans tes veines

aucun espoir d'être libéré

Je suis une multitude de voyages de l'autre côté

à travers le mur brisé, j'ai vu ton prochain

à l'ouest de l'horizon il y a un vent amer

et si vous essayez de sentir l'odeur de votre visage

car vous avez trouvé le trou de la serrure mais vous avez perdu votre colonne vertébrale

pas de courage pour rejoindre la marche du temps sans fin

vous avez vu le sommeil de l'habitude sur ceux qui marchent en transe

à leur vie sans but catatonique

alors laissez-les démarrer le moteur broyant la poussière de montagne

et reproduire trop votre ego ne suffit pas

vous creusez des trous à travers la terre pour rencontrer le roi des vers

pour voler sa sagesse et apprendre à se décomposer

vous chantez comme cinquante indiens pour charmer le prince des aigles

apprendre l'art de voir et la langue des vents

alors n'essayez pas de me tromper car je regarde chacun de vos mouvements

nous sommes des âmes s?urs comme deux vices à l'état sauvage