To War - Construcdead

A nation in turmoil, a city in grief. I can't see the sun for the smoke cloud.

Familiar street unrecognizable for the debris. I stumble through destruction.

Inside I scream for retribution, to ease the pain and grief I feel.



[Chorus]

Some would say that I've lost my way, well what do they know?

I can not tell if I'm lead astray by myself,

but when what's sacred to me is brought to it's knees, when they've

struck at the core of my security; my society, I go to war.



Children carrying flags to be placed on their fathers' graves,

starvation and disease is the aftermath, the till, the prices to be pain

for religious and political power games.

So what should I do?

Sit in silence as they burn everything I hold true?



[Chorus]



Violence breeds violence, sure, I'm aware of that,

but still we carry our predatory genes.

Eat or be eaten, kill or get killed-it's the way of the world,

but I doubt still as I go to war.

Death, burnt flesh is left in my trail. In self-defence I maim.

Crawling in me, a leering demon, consuming my humanity

day by day.



In my mind the accusations drone.

In my mind I am never alone, never alone.

Une nation en ébullition, une ville en deuil. Je ne peux pas voir le soleil pour le nuage de fumée.

Rue familière méconnaissable pour les débris. Je trébuche à travers la destruction.

À l'intérieur, je crie pour me venger, pour soulager la douleur et le chagrin que je ressens.



[Refrain]

Certains diraient que j'ai perdu mon chemin, bien que savent-ils?

Je ne peux pas dire si je m'égare par moi-même,

mais quand ce qui est sacré pour moi est mis à genoux, quand ils ont

frappé au c?ur de ma sécurité; ma société, je vais à la guerre.



Enfants portant des drapeaux à placer sur les tombes de leurs pères,

la famine et la maladie sont les conséquences, le till, les prix à faire souffrir

pour les jeux de pouvoir religieux et politique.

Alors, que dois-je faire?

Asseyez-vous en silence alors qu'ils brûlent tout ce que je tiens pour vrai?



[Refrain]



La violence engendre la violence, bien sûr, j'en suis conscient,

mais nous portons toujours nos gènes prédateurs.

Manger ou se faire manger, tuer ou se faire tuer, c'est la voie du monde,

mais je doute encore quand je vais à la guerre.

La mort, la chair brûlée est restée sur ma trace. En état de légitime défense, je mutile.

Rampant en moi, un démon méprisant, dévorant mon humanité \u003cbr />
jour après jour.



Dans mon esprit, les accusations bourdonnaient.

Dans mon esprit, je ne suis jamais seul, jamais seul.