Song Of The Times - Chumbawamba

You working men of England one moment now attend

While I unfold the treatment of the poor upon this land

For nowadays the factory lords are brought the labor low

And daily are contriving plans to prove our overthrow

(Chorus)

So arouse you sons of freedom the world seems upside down

They scorn the poor man as a thief in country and in town

There's different parts in Ireland, it's true what I do state

There's hundreds that are starving for they can't get food to eat

And if they go unto the rich to ask them for relief

They bang their door all in their face as if they were a thief

(Repeat chorus)

Alas how altered are the times, rich men despise the poor

And pay them off without remorse quite scornful at their door

And if a man is out of work his Parrish pay his small

Enough to starve himself, and wife, his children, and all

(Repeat chorus)

So to conclude and finish these few verses I have made

I hope to see before it's long men for their labor paid

Then we'll rejoice with heart and voice and banish all our woes

Before we do old England must pay us what she owes

(Repeat chorus)

Vous, les travailleurs d'Angleterre, assistez un instant maintenant

Pendant que je déploie le traitement des pauvres sur cette terre

De nos jours, les seigneurs d'usine sont réduits la main-d'?uvre

Et chaque jour, nous préparons des plans pour prouver notre renversement

(Refrain)

Alors éveillez-vous, fils de la liberté, le monde semble à l'envers

Ils méprisent le pauvre homme comme un voleur à la campagne et en ville

Il y a différentes parties en Irlande, c'est vrai ce que je dis

Il y en a des centaines qui meurent de faim car ils ne peuvent pas manger pour manger

Et s'ils vont vers les riches pour leur demander un soulagement

Ils leur claquent la porte au nez comme s'ils étaient un voleur

(Répéter le refrain)

Hélas, comme les temps sont modifiés, les hommes riches méprisent les pauvres

Et les payer sans remords assez dédaigneux à leur porte

Et si un homme est sans travail, sa Parrish paie son petit

Assez pour se priver de nourriture, de sa femme, de ses enfants et de tous

(Répéter le refrain)

Donc, pour conclure et terminer ces quelques versets que j'ai faits

J'espère voir avant qu'il ne soit long les hommes pour leur travail payé \u003cbr />
Ensuite, nous nous réjouirons de c?ur et de voix et bannirons tous nos malheurs

Avant de faire, la vieille Angleterre doit nous payer ce qu'elle doit

(Repeter le refrain)