Copernicus - Candlemass

Our names are written on the stars on heaven's tree
Yes, nine by nine they die, just like you and me
These peerless eyes look down, giving us our choices
Each one calls out, a universe of voices

These are the ancient fathers, the laws that bind us all
White jewels of mystery, mirrors for our souls
They spoke of life and death, love and history
Today the stars are for fools and vanity

And there's Orion and there's the Zodiac
If you look close, they're needles in a stack
And you saw, in your telescope on earth
Copernicus, the order of the worlds

Evening caress
Always yearning
I must confess
The stars aren't burning

Copernicus

The sky is full of shining crosses for our sins
Each one a monument for what ends and what begins
Small emerald satellites, orbiting so fast
Will they be gone tomorrow, just like painted glass?

If I had wishes, I would shout to you and scream
But now I realize, you're like young dying streams
I'm in the real world, with people, crises and scars
Copernicus, I don't care about your stars

Evening caress
Always yearning
I must confess
The stars aren't burning

Nos noms sont écrits sur les étoiles sur l'arbre du ciel
Oui, neuf par neuf ils meurent, tout comme toi et moi
Ces yeux incomparables regardent vers le bas, nous donnant nos choix
Chacun appelle, un univers de voix

Ce sont les anciens pères, les lois qui nous lient tous
Bijoux blancs de mystère, miroirs pour nos âmes
Ils ont parlé de vie et de mort, d'amour et d'histoire
Aujourd'hui, les étoiles sont pour les imbéciles et la vanité

Et il y a Orion et il y a le Zodiaque
Si vous regardez de près, ce sont des aiguilles dans une pile
Et tu as vu, dans ton télescope sur terre
Copernic, l'ordre des mondes

Caresse du soir
Toujours désireux
je dois avouer
Les étoiles ne brûlent pas

Copernic

Le ciel est plein de croix brillantes pour nos péchés
Chacun un monument pour ce qui se termine et ce qui commence
Petits satellites émeraude en orbite si rapide
Seront-ils partis demain, tout comme le verre peint?

Si j'avais des souhaits, je te crierais et crierais
Mais maintenant je me rends compte, tu es comme de jeunes ruisseaux mourants
Je suis dans le monde réel, avec des gens, des crises et des cicatrices
Copernic, je me fiche de tes étoiles

Caresse du soir
Toujours désireux
je dois avouer
Les étoiles ne brûlent pas