The Birth Of The True - Camera Aztec

I feel the magic that our time has traced

And make a point of it in every place.

But every place deserves a curse or two,

For making me so far away from you.



I saw some pictures of the world at war,

I couldn't suss what all the fuss was for.

I wear a picture of you wearing black,

And kissing me behind the butler's back.



Sometimes I get down,

But it's not you that gets me down,

It's just that sense of the impossible,

Gratuitously handed down.



But oh no, not you, don't wipe your eyes over lies,

Just let them shine their blue,

On every whisper that welcomes the inconceivable

And the birth of the true.



I'd sack the world and make a second start,

I'd sack my head until I'd found my heart,

I'd fill the distance with a red parade,

And burn the banks down while the bugles played.



Sometimes I get down,

But it's not you that gets me down,

It's just that sense of the impossible,

Gratuitously handed down.



But oh no, not you, don't wipe your eyes over lies,

Just let them shine their blue,

On every whisper that welcomes the inconceivable

And the birth of the true

Je ressens la magie que notre temps a tracée

Et en faire un point partout.

Mais chaque endroit mérite une malédiction ou deux,

Pour m'avoir éloigné de toi.



J'ai vu des photos du monde en guerre,

Je ne pouvais pas savoir à quoi servait tout ce tapage.

Je porte une photo de toi en noir,

Et m'embrassant dans le dos du majordome.



Parfois je descends,

Mais ce n'est pas toi qui me déprime,

C'est juste ce sens de l'impossible,

Transmis gratuitement.



Mais oh non, pas toi, n'essuie pas tes yeux sur les mensonges,

Laissez-les simplement briller leur bleu,

Sur chaque murmure qui accueille l'inconcevable

Et la naissance du vrai.



Je saccagerais le monde et ferais un deuxième départ,

Je piquerais ma tête jusqu'à ce que je trouve mon c?ur,

Je remplirais la distance avec un défilé rouge,

Et brûle les banques pendant que les clairons jouent.



Parfois je descends,

Mais ce n'est pas toi qui me déprime,

C'est juste ce sens de l'impossible,

Transmis gratuitement.



Mais oh non, pas toi, n'essuie pas tes yeux sur les mensonges,

Laissez-les simplement briller leur bleu,

Sur chaque murmure qui accueille l'inconcevable

Et la naissance du vrai