Memorial Day - CARLY SIMON

(Carly Simon)

It should have been so soft, this morning as we left

But the valley was infected, by a different kind of beauty

And the Indians they knew, it was a devil's sanctuary.



Out of this unholy dawn, a car came stirring up the sand

And a woman from a passion play

Held up the limousine that brought me

All this way today. And I didn't need to turn around

So strong was the message, and the man who planned her life

Commanded all that followed: Well they bellowed, and they hollered

And they threw each other down, down in this valley

This cruel and lovely valley, Oh it should have been an alley

In some low down part of town



As the lights came up, there was no sun

And brandy splattered all over the ground

As this woman with her head held high

Yelled love and why oh why, you're killing me oh follow me-

As I watched safe and clean, from the frosted windows of that limousine



Well they bellowed and they hollered, and they threw each other down

Down in this valley, this cruel and lovely valley

Oh it sould have been an alley, in some low down part of town



Before he'd been so funny, imagining the best:

That he'd escaper recrimination, for abandoning the nest

He'd been joking and stoned, while he was entertaining me

But then turned and was stunned, by her panic and her misery



And I was in the get-away car

Giving him a chance, to get away

Get away, get away



And how the valley smoked, as he crossed Route 25

With his cymbals and his shattered crown, leaving all alone

His eyes fixed on the ground. And he didn't even turn around

So strong was the message, and he fell into the shallow sky

And was swallowed.

Well they bellowed and they hollered, and they threw each o

(Carly Simon)

Ça aurait dû être si doux, ce matin que nous sommes partis

Mais la vallée a été infectée par une beauté différente

Et les Indiens qu'ils connaissaient, c'était un sanctuaire du diable.



De cette aube impie, une voiture est venue remuer le sable

Et une femme d'un jeu de passion

J'ai détenu la limousine qui m'a amené \u003cbr />
Tout ce chemin aujourd'hui. Et je n'avais pas besoin de me retourner

Le message était si fort et l'homme qui avait planifié sa vie

Commandé tout ce qui a suivi: Eh bien, ils ont beuglé, et ils ont hurlé \u003cbr />
Et ils se sont jetés, dans cette vallée

Cette vallée cruelle et charmante, Oh ça aurait dû être une ruelle

Dans une partie basse de la ville



Quand les lumières se sont allumées, il n'y avait pas de soleil

Et du cognac éclaboussé partout sur le sol

Comme cette femme la tête haute

Amour hurlé et pourquoi oh pourquoi, tu me tues oh suivez-moi-

Pendant que je regardais en sécurité et propre, depuis les fenêtres givrées de cette limousine



Eh bien, ils ont beuglé et ils ont crié, et ils se sont jetés vers le bas

Dans cette vallée, cette vallée cruelle et charmante

Oh, ça aurait dû être une ruelle, dans une partie basse de la ville



Avant qu'il ne soit si drôle, imaginant le meilleur:

Qu'il échapperait à la recrimination, pour avoir abandonné le nid

Il avait plaisanté et lapidé pendant qu'il me divertissait

Mais elle s'est retournée et a été stupéfaite, par sa panique et sa misère



Et j'étais dans la voiture de fuite

Lui donner une chance de s'évader

Partez, partez



Et comment la vallée fumait en traversant la route 25

Avec ses cymbales et sa couronne brisée, laissant tout seul

Ses yeux fixés sur le sol. Et il ne s'est même pas retourné \u003cbr />
Le message était si fort et il est tombé dans le ciel peu profond

Et a été avalé.

Eh bien, ils ont hurlé et ils ont hurlé, et ils ont jeté chacun o