Buffy - Burnt By The Sun

This is ludicrous speed. What's here and now and intended to be clear to the senses passes as a blur.

Obsession: desire, Desire: obsession. I know the answer inside is fighting the image of beauty and security.

I can hear it gnawing at my consciousness in the background. Groveling, unnerving, yet deaf to

nonsensical ears. I fear why I desire. I understand how this all works and yet I'm still fixated.

Saturday nights are just the start, a day or two into the week and I'm half way back. By the time

I get home I'm back there again. I am completely aware and yet somehow I'm forced to the margins.

Bench warming and there seems little chance of me getting out alive. A person no more. I watch and I watch.

Absurd recap. A person no more and it feels so good it hurts. I watch again. Recapitulation. Worn down.

This is not where I want to be. Unfamiliar mirrors. I wonder what has become of my life.



The gaps in our lives seem to be so easily replenished with the products of our imagination, allowing ourselves

to believe that the touched-up digital images of perfection are real and set the standard for beauty and truth within

ourselves. But such things tend to leave a person more lonely than she was to start with as the

bombardment of these images through entertainment and advertisements remove us even more from the rawness of life.

C'est une vitesse ridicule. Ce qui est ici et maintenant et destiné à être clair pour les sens passe comme un flou.

Obsession: désir, Désir: obsession. Je sais que la réponse à l'intérieur est de combattre l'image de la beauté et de la sécurité.

Je peux l'entendre ronger ma conscience en arrière-plan. Ramper, énervant, mais sourd à \u003cbr />
oreilles absurdes. Je crains pourquoi je désire. Je comprends comment tout cela fonctionne et pourtant je suis toujours obsédé.

Les samedis soirs ne sont que le début, un jour ou deux après la semaine et je suis à mi-chemin. Au moment

Je rentre chez moi, je suis de retour là-bas. Je suis complètement au courant et pourtant je suis en quelque sorte forcé à la marge.

Le réchauffement du banc et il semble qu'il y ait peu de chances que je m'en sorte vivant. Une personne plus. Je regarde et je regarde.

Récapitulation absurde. Une personne plus et ça fait tellement de bien que ça fait mal. Je regarde encore. Récapitulation. Usé.

Ce n'est pas là que je veux être. Miroirs inconnus. Je me demande ce qu'est devenue ma vie.



Les lacunes dans nos vies semblent être si facilement remplies avec les produits de notre imagination, nous permettant

de croire que les images numériques retouchées de la perfection sont réelles et établissent la norme de beauté et de vérité en

nous-mêmes. Mais de telles choses ont tendance à laisser une personne plus solitaire qu'elle ne l'était au départ en tant que

le bombardement de ces images par le biais de divertissements et de publicités nous enlève encore plus de la brutalité de la vie.