The Riddle - Buried Dreams

Those eyes, like pits of damnation. Like orbs of black steel. I stare into them and I am lost. My mind screams for release panic, flight!!! But my body does not respond. I can not move. His caress lingers on my face for a heartbeat and then his fingers drift around my neck, so gentle. They offer me no mercy. Like a wolf he pounces, his fangs rake across my throat and pierce my skin. Why can I scream? A blaze of heat: rapture. He licks at my essence as it pours from my gullet, then begins to suck. I cling to him like a drowning sailor, like a lover. My rock. My fire. My lust. My senses spin into the night, reaching out for solid ground. I clutch at the lapel of his cloak. If there is a heaven, I pray I go there If there is a hell, I know I am there now. I feel my life slipping away. My eyes are burning, I let out one last moan shooting out the darkness and pain, I rise up, leaving my twisting and heaving body. I feel my life slipping away, my eyes are burning, having this torment my life blood will burn!!! The last sand falls through the hourglass, it is calm here; I am at peace. This be death, the unmaking... Heat!!! Pain!!! Confusion!!! I smell bitterness, the cold fragrance wrenches my soul from its rest. He holds his wrist toward me Oozing life, its red gleam beckons to me. I know but one thing: I must drink to live. Like an animal, I lunge. Greedily I suck at his skin. The hot liquor caresses my mouth. I welcome to its warmth. Nerves given up for dead return to painful vitality. I try to scream. The life flow continues unabated, filling me. What have I become? With a cry, I grasp wildly for the sours of life. It is gone. I collapse to the floor. The crash of broken glass resound somewhere nearby. I am alone. With the gift of life still heavy in my stomach, I sink into the realm of nightmares. The pain becomes ecstasy, such exquisite, living agony. We become one, as death!

Ces yeux, comme des fosses de damnation. Comme des orbes d'acier noir. Je les regarde et je suis perdu. Mon esprit crie pour la libération de panique, fuite !!! Mais mon corps ne répond pas. Je ne peux pas bouger. Sa caresse s'attarde sur mon visage pendant un battement de c?ur puis ses doigts glissent autour de mon cou, si doux. Ils ne m'offrent aucune pitié. Comme un loup qu'il bondit, ses crocs traversent ma gorge et me transpercent la peau. Pourquoi puis-je crier? Une bouffée de chaleur: ravissement. Il lèche mon essence alors qu'elle s'écoule de mon gosier, puis commence à sucer. Je m'accroche à lui comme un marin qui se noie, comme un amant. Mon rocher. Mon feu. Ma luxure. Mes sens tournent dans la nuit, cherchant un terrain solide. Je m'accroche au revers de sa cape. S'il y a un paradis, je prie d'y aller S'il y a un enfer, je sais que je suis là maintenant. Je sens ma vie glisser. Mes yeux me brûlent, je laisse échapper un dernier gémissement tirant sur l'obscurité et la douleur, je me lève, laissant mon corps se tordre et se soulever. Je sens ma vie glisser, mes yeux brûlent, ayant ce tourment ma vie le sang va brûler !!! Le dernier sable tombe à travers le sablier, il fait calme ici; Je suis en paix. Ce sera la mort, la défaite ... La chaleur !!! Douleur!!! Confusion!!! Je sens l'amertume, le parfum froid arrache mon âme à son repos. Il tient son poignet vers moi Vie suintante, sa lueur rouge me fait signe. Je ne sais qu'une chose: je dois boire pour vivre. Comme un animal, je me précipite. Avec avidité, je suce sa peau. La liqueur chaude caresse ma bouche. Je salue sa chaleur. Les nerfs abandonnés pour un retour mort à une vitalité douloureuse. J'essaie de crier. Le flux de vie continue sans relâche, me remplissant. Ce que je suis devenu? Avec un cri, je saisis sauvagement la douleur de la vie. C'est parti. Je m'effondre au sol. Le fracas de verre brisé retentit quelque part à proximité. Je suis seul. Avec le don de la vie toujours lourd dans mon estomac, je m'enfonce dans le royaume des cauchemars. La douleur devient l'extase, une telle agonie exquise et vivante. Nous devenons un, comme la mort!