Mr. Baileys Daughter - Bryan Duncan

Whoa, ha ha! Now, this is the story of a lower-middle class, American preacher's kid who found that we don't always do all the right things for the right reasons. Now my Dad is the finest man of God to ever grace the pulpit of a small Pentecostal church. To tell the truth, I was born on Saturday and in church on Sunday, and I guarantee I was never late. 'Cause Mom was the organ player and the Sunday School teacher, while I took up the offering. AThey would always make me give it back. And as a child, I had the honor of sittin' in the front row for the first five minutes of every sermon. That's usually how long it took to be called up to the platform for the express purpose of keeping me from escaping under the pews. And there I would sit, behind the pulpit, and count ceiling tiles for the next hour and a half. Like most people, over the years, I got used to the pressure of sayin' and doin' all the right things whether I believed it or not. 'Cause if I didn't I had the largest gathering of elderly ladies ever to act upon their moral obligation to report everything I ever said or did. So, you can understand why I loved goin' to the youth conventions, 'cause it proved beyond that shadow of a doubt there were girls goin' to church who were under sixty-five years of age. And suddenly there she was, fourth row back, on the left, in the choir, the absolute dream of every kid ever to seek permission to borrow the family car!



Mr. Bailey has a daughter

Hopin' she'll notice me

Got me singin' in the choir

Volunteerin' my time for free

Now I'm prayin' for revival

Workin' at livin' right

Man, I never looked more sanctified

At church on Sunday night



Now, it's amazing what'll turn your life around in a hurry. Overnight I'd come to realize what it meant, wrong or right, to be motivated.

Whoa, ha ha! Maintenant, c'est l'histoire d'un enfant de prédicateur américain de la classe moyenne inférieure qui a constaté que nous ne faisons pas toujours toutes les bonnes choses pour les bonnes raisons. Maintenant, mon père est le meilleur homme de Dieu à avoir jamais honoré la chaire d'une petite église pentecôtiste. Pour dire la vérité, je suis né le samedi et à l'église le dimanche, et je vous garantis que je n'ai jamais été en retard. Parce que maman était le joueur d'orgue et le professeur de l'école du dimanche, pendant que je prenais l'offre. AThey me ferait toujours redonner. Et enfant, j'ai eu l'honneur de rester au premier rang pendant les cinq premières minutes de chaque sermon. C'est généralement le temps qu'il a fallu pour être appelé sur la plate-forme dans le but exprès de m'empêcher de m'échapper sous les bancs. Et là, je m'asseyais, derrière la chaire, et je comptais les dalles de plafond pendant une heure et demie. Comme la plupart des gens, au fil des ans, je me suis habitué à la pression de dire et de faire toutes les bonnes choses, que je le croie ou non. Parce que si je ne le faisais pas, j'avais le plus grand rassemblement de femmes âgées à avoir respecté leur obligation morale de rapporter tout ce que j'ai dit ou fait. Donc, vous pouvez comprendre pourquoi j'aimais aller aux conventions de la jeunesse, car cela prouvait hors de l'ombre d'un doute qu'il y avait des filles qui allaient à l'église et qui avaient moins de soixante-cinq ans. Et soudain, elle était là, quatrième rangée en arrière, à gauche, dans la chorale, le rêve absolu de chaque enfant de demander l'autorisation d'emprunter la voiture familiale!



M. Bailey a une fille

En espérant qu'elle me remarque

Tu me fais chanter dans la chorale

Faire du bénévolat pour mon temps gratuitement

Maintenant je prie pour le réveil

Travailler à vivre à droite

Mec, je n'ai jamais eu l'air plus sanctifié \u003cbr />
À l'église le dimanche soir



Maintenant, c'est incroyable ce qui va transformer votre vie rapidement. Du jour au lendemain, je venais de réaliser ce que cela signifiait, mal ou bien, d'être motivé.